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 03. The crazies

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MessageSujet: 03. The crazies   03. The crazies EmptyDim 21 Nov - 22:17

Alejandro Vargas & Summer Davis

The crazies


03. The crazies IconAMeraz3 03. The crazies 62462261




Une perte de temps. Ni plus, ni moins. Depuis la rentrée, Summer avait l'impression d'avoir complètement perdu son temps. On était déjà fin Octobre, Halloween avait lieu deux jours plus tard, et elle n'était toujours pas parvenue à ses fins. Chaque journée lui apportait son nouveau lot de frustration, qu'elle évacuait sur les autres avec encore plus de vigueur que d'habitude. Elle n'y pouvait rien, elle était furieuse. Ces derniers jours, elle avait soigneusement évité Madison, l'ignorant même, et elle avait fait pleurer deux filles de sa petite cour personnelle. Elle avait laissé Quinn se fait chahuter, alors que d'ordinaire elle s'arrangeait pour éviter à la blonde ce genre de désagréments, et même Brittany avait pris soin de l'éviter. Les membres des deux chorales en avaient pris pour leur grade, et elle ne se sentait toujours pas mieux. Rien ne la calmait, ni les fêtes auquelles elle s'obstinait à aller, ni l'alcool, ni même le sexe. Parce qu'en vérité, depuis plusieurs semaines, elle ne voulait qu'une personne : Pierre Clairefontaine.
Mais ce crétin refusait toujours de répondre à ses avances. Non, le terme exact était qu'il ignorait les remarques suggestives et les propositions que Summer lui faisait. Et pourtant, la jeune fille avait tout tenté, elle avait déployé toutes ses armes, mais il n'y avait rien eu à faire. Pierre restait insensible à ses charmes.. ce qui était déjà, en soi, assez difficile à supporter. Mais encore, elle prenait cela pour un défi, alors elle n'avait pas baissé les bras. Seulement voilà, en début de semaine, elle avait surpris un échange de regard entre Pierre et Beverly. Oui, son idiote de capitaine, cette blondasse insipide et nunuche plaisait à Pierre! Depuis ce jour, Summer fulminait littéralement. Elle avait passé une semaine exécrable, mais n'était pas non plus restée sans rien faire. Et après de multiples recherches, elle avait fini par obtenir gain de cause, et elle avait maintenant de quoi changer la mise, du moins, elle l'espérait vivement.. sinon ses victimes habituelles pouvaient craindre le pire.

La veille, on lui avait appris que Beverly n'était de toute évidence pas seulement courtisée par Pierre -rien qu'en y pensant, elle sentait ses mains trembler de rage. Un autre garçon avait aussi l'air de s'intéresser à elle, et c'est précisément ce qui avait poussé Summer à quitter les beaux quartiers pour les quartiers pauvres de la ville. Au volant de sa décapotable gris argent, elle s'arrêta devant un terrain sur lequel était installées deux caravanes assez.. miteuses. Et encore, le mot était gentil. Elle jeta un regard glacial à l'ensemble. D'une main elle chiffonna le papier sur lequel était noté l'adresse, de l'autre elle jeta un coup d'oeil à son rétroviseur. Elle aperçut un groupe d'enfants qui ouvraient de grands yeux stupéfaits devant sa voiture, et même une femme passa la tête par la fenêtre. Le bas-peuple venait admirer la richesse qu'elle se plaisait à étaler à leurs yeux. Elle n'eut même pas un sourire, se contentant de descendre de sa voiture. Les talons hauts de ses chaussures claquèrent sur le bitume abîmé de la route. Tout en elle respirait le luxe, de son jean à 200$, à sa veste en cuir dont le prix à lui seul aurait suffit à nourrir toutes les familles de ce quartier pour la semaine. D'un mouvement de tête, elle secoua sa lourde chevelure chatain, et des diamants scintillèrent à ses oreilles. Après une légère inspiration, elle s'avança vers le terrain qui encadrait ce qui servait d'habitation à la famille Vargas.
Un claquement régulier lui fit froncer les sourcils, et par curiosité, elle se dirigea directement vers l'arrière du jardin, ou plutôt du terrain qui servait de jardin. Et y découvrit le dénommé Alejandro. Le garçon était occupé à tirer à la carabine sur des cannettes vides, et Summer haussa un sourcil hautain à cette vision. Décidément, les pauvres n'étaient pas sa tasse de thé.

" Alejandro Vargas. Tu n'es pas facile à trouver. Tout se ressemble ici : les maisons, les habitants.. la saleté. " fit-elle en reniflant d'un air méprisant, dardant autour d'elle un regard froid et dur, mais elle se reprit, et un sourire amusé s'afficha sur ses lèvres. " Oh, excuse-moi. Un vieux réflexe. " Ses habitudes déplaisantes et dénigrantes semblèrent la distraire et elle secoua la tête, agitant la main devant elle comme pour chasser cette fameuse habitude. " Je suis Summer. Et je ne vais pas y aller par quatre chemins : je veux te proposer quelque chose. "

Croisant les bras, elle plissa les yeux. Le ciel gris gronda au dessus de sa tête, annonciateur d'un orage. Elle détailla le jeune homme. Il était très beau, difficile de dire le contraire. Elle sentit un vague intérêt naître au creux de son ventre, qu'elle ne chercha pas à réprimer. Mais elle n'était pas ici pour cela, et elle attendit qu'il daigne se désintéresser de sa carabine pour se tourner vers elle.
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MessageSujet: Re: 03. The crazies   03. The crazies EmptyJeu 25 Nov - 21:32

Alejandro tiqua d’agacement, levant un regard critique vers le ciel menaçant au-dessus de lui. C’était assurément le vent qui s’entêtait à lui faire manquer ses cibles. Ou le calibrage de la carabine qu’il avait entre les mains. Ouais, assurément, le problème ne venait pas de lui ou de son manque de concentration.
D’ailleurs, il était parfaitement à ce qu’il faisait et Beverly ne hantait pas du tout ses pensées. Ni Beverly, ni les formes généreuses de Santana qui venaient le narguer de plus en plus souvent ces temps-ci. Ni même ses problèmes d’argent, de boulot ou ces idioties d’histoire de choral. Non, Al était le genre de type décontracté qui ne se soucie de rien d’autre que son apparence et du sort qu’il réserverait à ses prochaines victimes. Actuellement, il avait jeté son dévolu sur d’innocente cannette ramassées ci et là.

Une exclamation agacée passa les lèvres du garçon dont le visage se déforma sous le coup de la frustration. Il n’arrivait pas à rester concentrer ne serait qu’une minute à ce qu’il faisait. Chaque fois qu’il fermait un œil en essayant de viser, ses pensées se mettaient indéniablement à voyager vers d’autres horizons et il manquait sa cible. De peu à chaque fois bien entendu.

Une voix féminine l’arracha soudain à ses ruminements et l’adolescent fit volte-face dans un sursaut. Il n’était pas du genre à se laisser surprendre mais le petit brin de femme qui s’avançait vers lui d’un pas conquérant était parvenu à le troubler. Encore et toujours à cause de ces pensées parasites qui l’assaillaient depuis quelques temps et ne lui laissait pas un seul instant de répit.
Ses sourcils se froncèrent lorsque Summer (qu’il connaissait bien évidemment) prit la parole, s’exprimer d’un ton méprisant à souhait. Il détestait qu’on le traite de cette façon et encore plus sur son territoire. D’ailleurs, personne ne s’y aventurait jamais en temps normal et aucun de ses camarades du lycée n’avait son adresse. A part Beverly bien entendu. Alors qu’est-ce que cette espèce de pourriture arrogante faisait ici ?

« J’sais qui t’es » grogna-t-il d’abord pour simple réponse

Sa carabine en main, il la toisa avec autant d’insolence qu’elle le faisait, son nez retroussé dans une expression dédaigneuse, ses yeux aussi sombre que le ciel braqué sur sa silhouette osseuse.

« T’vas avoir b’soin que d’un chemin pour retourner d’où tu viens poulette. Si t’sais pas l’trouver, ma godasse s’ra ravi d’te montrer la voie… » ajouta-t-il d’un ton où pointait la menace
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MessageSujet: Re: 03. The crazies   03. The crazies EmptyDim 5 Déc - 12:30



Oui, le dénommé Alejandro était séduisant. Il avait ce petit coté bad boy qui devait faire fondre bon nombre de demoiselles. Et en effet, Summer avait déjà eu de nombreux échos le concernant, tous plus ou moins flatteurs.. du moins quand les demoiselles en question n'étaient pas du genre à s'effaroucher lorsque le garçon partait sans un mot une fois le matin venu. Il avait la réputation de briser des coeurs.. et des figures. Un brin bagarreur, tout le monde savait qu'il ne se laissait pas marcher sur les pieds, mais Summer ne s'était pour l'instant jamais intéresser à lui, et d'ailleurs, jamais il ne lui serait venu à l'esprit de lui adresser la parole, si elle ne se trouvait pas au pied du mur, pour ainsi dire. Seulement, elle avait besoin de lui.. et quand elle lui aurait exposé son plan, lui aussi aurait besoin d'elle. Enfin, quand il aurait fini de faire son méchant garçon. Pour l'instant, il la toisa d'un regard assassin, sa carabine à la main. Comme elle s'y attendait, il la connaissait. Qui ne connaissait pas Summer Davis, Reine de McKinley, monstre adolescente et saloperie en devenir? Elle se faisait un devoir de se faire connaitre de tous, que ce soit directement ou par les nombreuses rumeurs qui couraient à son sujet. Tout le monde savait de quoi elle était capable. Et avant de mettre les pieds dans ce quartier pourri, elle avait pris soin de se renseigner sur Alejandro, afin de ne pas débarquer dans un territoire inconnu sans savoir dans quoi elle se lançait.
L'accueil qu'il lui réserva était glacial, et agressif, mais elle s'y attendait, et elle ne bougea pas d'un pouce. Tout dans l'attitude d'Alejandro laissait voir à quel point il avait envie de débarrasser d'elle au plus vite. Il ne l'aimait pas, et en fait, il n'aimait pas les élèves comme elle : riches, populaires, possédant plus que ce dont ils avaient besoin.. Il n'y avait pas plus différents que les deux adolescents qui se jaugeaient du même regard méprisant. Il avait la familiarité et le langage propre aux pauvres, elle avait la classe et les manières d'une princesse.. mais au final, ils avaient tous les deux une envie, un désir, qui les unirait. Les menaces qu'il proféra à son encontre la laissèrent de marbre, et elle faillit rouler des yeux.

" Ça ne marche pas avec moi. " dit-elle avec agacement. " Je ne suis pas venue ici pour échanger des mots doux avec toi. Non, si je suis là, c'est parce que j'ai besoin de toi. Crois-moi, ça ne me fait pas plus plaisir qu'à toi de me trouver ici. Mais il y a quelque chose que je désire obtenir. Et malheureusement, tu es le seul qui peut m'aider à l'obtenir. Mais je ne suis pas stupide. " poursuivit-elle avec un sourire en coin. " Je sais que tu ne m'aideras pas si je ne te donne rien en retour. Et ça tombe bien, parce que si tu m'aides à avoir ce que je veux, tu auras toi aussi ce que tu désires.. " Tournant autour de lui, elle lui rendit son regard brûlant, comme un animal dangereux qui tournerait autour d'un animal tout aussi dangereux. "Beverly. " lâcha-t-elle finalement. " Elle est entre moi et ce que je désire. Pierre Clairefontaine. Je le veux. Mais il ne jure que par elle. Et je sais qu'elle te plait. Je sais que tu penses à elle, je sais que tu la désires. Elle te fait envie, mais entre elle et toi.. et bien, il y a Pierre. Même toi tu dois comprendre où je veux en venir. "

Arrivée devant lui, elle s'immobilisa. Le menton en avant, elle affichait un sourire à la fois pervers et.. aguicheur. Allait-il comprendre de quoi elle parlait, allait-il se joindre à elle pour séparer Pierre et Beverly? Dans les deux cas, Alejandro et Summer seraient gagnants : elle aurait Pierre, il aurait Beverly. Il ne restait plus qu'à savoir s'il était prêt à s'allier à celle qui représentait tout ce qu'il haïssait. Summer quand à elle avait déjà accepté, même si Alejandro était l'opposé de Queen S., car il y avait quand même pire que s'allier avec un garçon aussi sexy.
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MessageSujet: Re: 03. The crazies   03. The crazies EmptyDim 5 Déc - 16:27

Les sourcils bruns du jeune homme se froncèrent malgré lui sous la curiosité. Summer était effectivement bien loin de chez elle en ce moment et Al se doutait qu’elle n’avait pas fait le déplacement uniquement pour lui sortir deux trois remarques acerbes. Elle avait évidemment quelque chose à lui demander. Un service.
Pendant un instant, il s’était figuré que c’était de came qu’elle avait besoin. Ca n’aurait pas été si déplacé puisque son oncle l’avait longtemps chargé de fournir les gosses de riches de la ville en toute sorte de drogues, douces comme dures, à son insu. Évidemment, il trouvait bizarre d’aller livrer des cafés aussi coûteux à des types un peu louches, mais il avait préféré ne pas se poser trop de questions à ce sujet… Jusqu’au jour où il s’était fait pincer. Heureusement, la commande dont il se chargeait ce jour-là était plutôt soft et il s’en était bien tiré.
Mais il apparu rapidement clair au garçon que ce n’était pas de stupéfiant que la cheerleader était venue lui parler.

Et puis soudain, elle prononça le nom de sa meilleure amie. Une pierre tomba lourdement dans l’estomac d’Alejandro et son cœur manqua quelques battements. Comment savait-elle ? Comment pouvait-elle savoir alors que lui-même était encore indécis ?
Il détestait que Summer ait une longueur d’avance sur lui, qu’elle soit au courant des sentiments qu’il éprouvait pour son amie d’enfance. Si ça avait été n’importe qui d’autre, ça aurait pu passer, mais là… Il s’agissait d’une des « amies » de Beverly, une chienne perfide qui ne reculait devant rien pour asseoir sa supériorité et prouver au monde entier qu’elle était quelqu’un.
En vérité, il savait bien qu’une menace était sous-jacente. Il l’avait lue dans son regard azuré et plein de fourberie : si tu ne m’aides pas, je déballe tout à Beverly.

Alejandro déglutit et referma sa main sur son arme avec plus de force encore. Il était coincé. Il le savait et Summer le savait. L’option la plus judicieuse pour lui à présent était d’accepter le deal. Il avait tout à y gagner ou presque...
Une question lui brûlait pourtant les lèvres et il la formula, sur la défensive.

« Qu’est-ce qui t’fais dire que j’en ai quelque chose à cirer ? Beverly est ma pote, c’est certain, mais pourquoi tu penses que j’attends plus que ça ? »

« Qu’est-ce qui m’a trahi ? » ajouta-t-il mentalement. Si Summer était au courant… il y avait un risque que Beverly elle-même s’en soit rendu compte. Et cette idée était tout bonnement insupportable.

« Si tu veux t’taper le p’tit français, t’as qu’à l’séquestrer et lui faire subir c'que tu veux ! J’suis sur que c’débile aimerait ça et c’est bien ton genre... Encore que, j'ai l'impression qu'il préfère les mecs » ricana-t-il bêtement, essayant de paraitre détendu en vain…
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MessageSujet: Re: 03. The crazies   03. The crazies EmptyLun 13 Déc - 15:37

Le regard furieux d'Alejandro suffit amplement à Summer. De toute évidence, il avait clairement compris où elle voulait en venir. Il était loin d'être la simple brute qu'il semblait être. Bien au contraire, sous cette apparence de méchant garçon, violent et agressif, se cachait une cervelle! Summer était venue en sachant pertinemment qu'il comprendrait ce qu'elle voulait dire, et elle avait eu raison, puisqu'il la foudroyait littéralement du regard, et semblait hésiter entre la jeter dehors -enfin, hors du terrain vague qui leur servait de propriété- et l'écouter. Car s'il refusait, Summer ne se priverait pas pour passer à son plan B. Elle ne tolérait pas qu'on lui tienne tête, et celui ou celle qui avait la stupide idée de lui refuser quoi que ce soit en payait le prix. Si Alejandro refusait de s'allier à elle, et bien elle irait voir Bevery, sa chère capitaine qu'elle détestait pourtant de toutes ses forces, et comme d'ordinaire, elle enfilerait son masque de Cheerios souriante et obéissante. Elle étoufferait la lueur de cruauté et de noirceur que Beverly avait de si nombreuses fois aperçue dans les yeux de Summer, et elle lui cracherait tout au sujet de son "meilleur ami". Alejandro est amoureux de toi, ma chérie, lui dirait-elle. C'est pour ça qu'il se tape autant de Cheerios, pour s'imaginer en train de coucher avec toi. Et dans ce cas là, soit Beverly ne ressentait rien pour Alejandro, et repousserait son ex meilleur ami, prétextant sûrement que c'était pour ne pas le faire souffrir et pour qu'il passe à autre chose - encore un discours de cruche, digne de Beverly. Soit elle ressentirait la même chose que lui, et Summer aurait enfin le champ libre pour Pierre. En fait, elle comptait surtout là dessus, et se fichait bien du sort d'Alejandro. Elle voulait juste avoir Pierre, le reste importait peu.

Le latino se défendit, réfutant les sentiments qu'il éprouvait pour Beverly. Bien sur, Summer s'attendait à ce qu'il prétende le contraire. Elle soupira, comme si elle avait affaire avec un enfant en bas age.

"Et bien pour commencer, tu ne dis pas non. Si je me trompais, tu aurais simplement dit que je faisais erreur, et tu m'aurais renvoyé chez moi avec toute la gentillesse et l'élégance dont, je suis sûre, tu sais faire preuve. Or, tu te contentes de me demander comment j'en suis venue à penser ça. Oh, et si tu était simplement "l'ami" de Beverly.. tu ne dénigrerais pas le garçon qui lui plait. Les amis ne font pas ça. Les gens qui sont amoureux, si. Tu devrais surveiller tes paroles, tu te trahis trop facilement. " ricana-t-elle ouvertement.

Repérant un vieux banc en bois, elle s'y assit et croisa les jambes.

" Plus sérieusement, il suffit d'être un brin observateur pour le comprendre. Je t'ai vu en train de draguer Santana, et Beverly, Madison et moi passions par là à ce moment là. Je sais que tu as couché avec Madison et que vous êtes restés en de bons termes -comme quoi, elle n'est pas si bête que ça. Je sais que je ne t'attire pas, puisque je suis l'une des rares cheerleaders sur lesquelles tu n'es pas passé dessus. Il ne restait plus que Beverly. Et le regard qui t'a échappé ne pouvait viser qu'elle. Tu as de la chance que Santana ne s'en soit pas aperçu. Elle aurait massacré ta Beverly. Elle n'aime pas qu'on lui pique ce qui lui appartient. " ajouta-t-elle avec un haussement d'épaules. "Beverly n'est pas au courant, elle est trop occupée à affirmer son autorité sur les Cheerios. Vaine tentative, si tu veux mon avis. Mais bref, elle ne sait rien. Pour l'instant. " glissa-t-elle avec un regard entendu en direction d'Alejandro. "C'est simple. Je t'aide à avoir Beverly. Tu la connais en tant que meilleure amie. Je la connais en tant que fille. Je sais ce qu'elle aime chez un garçon, je sais ce qu'il faut faire pour lui plaire.. je connais aussi ses anciens petits copains. Pour l'instant, elle n'est pas prête à te voir autrement que comme un ami. Mais si je l'y aide.. elle comprendra enfin qui est fait pour elle, et bla bla bla... enfin bref, tu vois le topo! Toutes ces histoires d'amour, ça m'ennuie. " soupira Summer. "Mais si je t'aide, au final tu m'aides aussi, puisque une fois que tu seras avec elle.. elle lachera Pierre une bonne fois pour toutes. Et non, il n'est pas attiré par les garçons.. et j'en ai la preuve à chaques fois qu'il est avec Beverly. Il ne te reste pas beaucoup de temps Alejandro. Alors c'est oui, ou non? " termina-t-elle froidement.

Son regard de glace se plongea dans celui, brûlant, du jeune homme. Soit il acceptait, et il aurait la fille qui lui plait, soit il refusait.. et il restait toujours à Summer le plan C. Alejandro savait peut-être se défendre, à un contre un. Mais à un contre toute une équipe de foot, composée en grande majorité de joueurs qui lui en voulait soit de leur avoir piqué leur petite copine, soit d'avoir simplement couché avec.. rien n'était moins sûr.
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