My Valentine's day

Madison Attendait ce jour avec impatience, le bal de la St Valentin. Et elle avait de la chance, parce qu’elle n’avait pas un, mais deux cavaliers ! Enfin officiellement elle y allait avec Isaac, mais elle espérait bien avoir quelques danses avec son tendre amoureux. Cela faisait déjà quelques semaines que Maddy avait renoué contact avec Antoine, et leur relation était partit plus forte qu’au début. Il faut parfois s’éloigner de l’autre, pour comprendre qu’on tient trop à elle. Si la jolie blonde avait comprit la leçon, elle allait faire très attention à sa relation à présent… elle ne voulait plus perdre le jeune homme !

La jolie blonde c’était préparé avec soin, et elle pouvait être satisfaite du résultat ; elle était parfaite. Sa robe bleu turquoise faisait ressortir ses yeux bleus, et ses talons lui affinaient les jambes. Elle espérait vraiment qu’Antoine aime son style vestimentaire ce soir… la plupart des filles devaient avoir des robes volumineuses, mais Maddy avait choisi la simplicité, et surtout LA ROBE qui la mettait en valeur !

La soirée avait bien commencé, Madison était arrivée au bras d’Isaac, et pour le moment tout ce passer pour le mieux. La musique était bonne, le cocktail non alcoolisé était très bon, et l’ambiance au beau fixe ! Mais bizarrement, il manquait quelque chose à la soirée de la jolie blonde … Antoine ? Elle ne l’avait pas encore vu de la soirée, et commençait à croire qu’il ne viendrait pas. N’a-t-il pas trouvé d’amie avec qui venir comme il l’avait dit à Madison ? Et n’avait-il pas envie de venir seul ? La jolie blonde perdait son sourire… il lui avait promis quelques danses !

Les slows commencèrent, et Maddy dansa le premier avec Isaac … et lorsque le second démarra elle aperçut Antoine. Son cavalier comprit très vite que la jeune femme voulait partager cette instant avec son petit ami, alors il l’a laissa, et embarqua au passage une autre Cheerio qui se trouvait par là. Madison resta plantée au milieu de la piste de danse, les yeux rivés sur le beau brun qui s’avançait vers elle.

« J’ai bien cru que tu n’allais pas venir… »

Elle l’observa, il était si beau dans son costume. Madison en était folle amoureuse, et cela devait se lire sur son visage. Ses yeux pétillaient de joie, et elle affichait un sourire radieux. Le beau brun était si élégant, si … parfait aux yeux de la jeune femme.

« On danse ? »

La jeune femme attendait un baiser de la part du jeune homme, mais la situation semblait étrange… N’avait-il pas digérer le fait qu’elle s’était rendu ici avec Isaac ? Y’avait-il eu un problème entre les deux footballeurs, Madison n’espérait pas.

Le bal de la Saint Valentin … Cet événement dont tout le monde n’arrêtait pas de parler était enfin arrivé et même si Antoine aurait dû être heureux, il ne l’était pas vraiment. Même si Madison lui avait promis quelques danses, il ne pouvait pas oublier qu’elle allait au bal avec Isaac et le jeune homme ne pouvait pas oublier l’altercation qu’ils avaient eu quelques jours plus tôt. Enfin, cela n’avait pas d’importance car c’était lui qui était avec Madison mais il avait peur de se faire plus de mal que de bien en y allant. A vraie dire, il n’avait personne avec qui y aller maintenant donc il se trouvait dans de beaux draps … Ce n’était pas d’y aller tout seul qui le gênait, c’était de voir Isaac avec Maddy et vu ce qu’il avait prévu pour la soirée, cela ne présageait pas grand chose de bon. En fin d’après-midi, alors que tout le monde se préparait pour cet événement à McKinley, Antoine enfila un short et un t-shirt puis partit courir. Il avait besoin de se vider les esprits et de ne plus penser à ce bal avec des costumes et des robes partout. Il ne doutait pas que les organisateurs n’aient fait un magnifique travail mais il avait décidé de ne pas y aller point. A quel point allait-il blesser Madison ? Il ne pouvait pas le savoir et préférait ne pas y penser. Rentrant chez lui, il monta prendre une douche. Son père était reparti en déplacement la veille et il se retrouvait donc seul avec sa mère. Comme à son habitude, elle était dans la pièce de la maison qui lui était réservée et où elle pouvait lire et jouer du piano sans être dérangée. Une fois la douche terminée, Antoine enfila un pantalon de survêtement et se mit sur son lit. Il prit ensuite un livre de cours qu’il commença à feuilleter sans grand intérêt. Il le posa bien vite pour prendre un roman qu’il avait lu il y avait quelques temps et comme il l’avait aimé, cela le distrairait quelques heures de le relire. Malheureusement, il avait oublié de fermer la porte et quand sa mère passa devant sa chambre, elle lui dit : « Eh bien Antoine ! Qu’est-ce que tu fais là ? Ce n’est pas le bal du lycée ce soir ? » Oui, tout le monde était au courant, c’était la discussion entre les voisines. Quelle robe allait mettre leur fille ? Avec qui y allait leur fils ? Qui serait le plus beau ou la plus belle ? Enfin, des discussions de filles. Levant ses yeux de son lire, il dit : « Si, c’est bien ce soir mais je n’ai plus vraiment envie d’y aller. » Sa mère était entrée dans la chambre et elle s’assit sur le lit. « Qu’est-ce que tu me racontes là ? Il y aura cette jeune fille j’en suis certaine. » Comment avait-elle deviné ? Il ne l’avait pas encore mise au courant de son retour avec Madison mais sa mère n’était pas bête et elle avait deviné toute seule qu’une demoiselle se cachait derrière tout cela. « Effectivement, elle sera là aux bras d’un autre footballeur malheureusement. » Dit-il en soupirant. Sa mère lui sourit, cela lui rappelait ses années lycée à elle. Finalement, elle dit : « Ce n’est pas parce qu’elle y va avec un autre qu’elle n’attend pas que tu pointes le bout de ton nez. Tu ferais mieux de te dépêcher, tu es déjà en retard. » Dit-elle alors qu’elle s’en allait vers la porte. Avant de la fermer, elle lui dit : « Au fait, j’ai été cherché le costume qui tu as essayé la semaine dernière, il est dans ton armoire. » Quand la porte se ferma, Antoine se jeta sur son armoire et trouva le fameux costume. Il l’enfila sans se préoccuper de savoir s’il était propre ou pas mais heureusement pour lui il l’était. Se coiffant, il avait fini en trente minutes. Seulement, il était déjà pas mal en retard et il espérait que celui-ci ne soit remarqué par personne.

Vingt minutes plus tard, Antoine passait la porte du lycée comme ceci. De là, il acheta son billet et se dirigea immédiatement vers la grande salle. Tout avait l’air de se passer pour le mieux ici et le jeune homme était en train de se demander s’il avait bien fait de venir. Mais maintenant, il était trop tard pour reculer. Les slows battaient leur plein et il ne put s’empêcher d’éprouver un pincement au cœur quand il vit Maddy dans les bras d’Isaac. Il finit par s’approcher et alors que celui-ci partait, Madison lui dit : « J’ai bien cru que tu n’allais pas venir… » Oui, il avait cru lui aussi ne pas venir mais il préférait ne pas le lui dire. A la place, il allait trouver une excuse bidon de toute manière … « Désolé, j’ai dû aider ma mère à la maison, mon père n’est pas là en ce moment. » Allait-elle croire à ce mensonge ? Pourquoi pas après tout ? Si Madison connaissait sa mère, elle aurait su que ce n’était pas le genre de mère à demander quelque chose à son fils alors qu’il pouvait être au bal. Mais elle ne la connaissait pas … « On danse ? » Quelque chose clochait ce soir. Ils étaient là, tous les deux à peu de distance l’un de l’autre mais une gêne persistait. A la proposition de la jeune blonde, Antoine qui reprenait ses esprits lui dit : « Bien entendu sinon je serais venu pour rien. » Au fond, bien entendu qu’il était venu pour ces danses avec Maddy car les bals ce n’était pas son truc. Alors qu’il lui prenait la main pour l’emmener un peu plus loin sur la piste, il ne put s’empêcher de l’admirer tellement elle était belle. Une vraie princesse. Sa robe lui allait à ravir et rien que pour une vue pareille, il avait bien fait de faire le déplacement. Alors qu’ils commençaient à danser l’un contre l’autre, Antoine chuchota à l’oreille de la demoiselle : « Tu es magnifique Madison Sullivan, tu l’es tous les jours mais ce soir tout spécialement. » Dit-il avec le sourire.

Le bal de la St Valentin, le fameux sujet de conversation qui était aux bouches de toutes les Cheerios, mais aussi de tous les élèves ! Car il ne faut pas croire, les filles en parlent autant que les garçons ! Dans les vestiaires, la jolie blonde était certaine que les footballeurs ont fait des paris pour leur partenaire de bal ! Mais depuis quelques jours, Madison rêvait de ce jour… D’une danse aux bras d’Antoine comme dans les contes de fée. Mais si vous savez, genre la scène de Cendrillon, où la fille apparaît encore plus belle aux yeux de celui qu’elle aime. Mais la jeune femme commençait à perdre espoir… pourquoi ? Ce la faisait déjà plus d’une demi-heure qu’elle était présente dans la grande salle de McKinley, et toujours pas de prince charmant en vue.

Madison commençait à se poser des questions. Avait-elle vexé Antoine ? Oui, au final, elle aurait peut être dut dire à Isaac qu’elle ne pouvait pas y aller avec lui… « Quelle idiote » se dit-elle. Et lui, pour ne pas la blesser n’avait rien dit. La jolie blonde avait un pincement au cœur. Bien sur que cette soirée elle voulait la partager avec Antoine, elle voulait danser, rire et s’amuser en sa compagnie. Dans les bals c’est toujours ainsi, on arrive avec un cavalier, on repart avec un autre… et cet autre jeune homme Maddy voulait que ce soit son véritable petit ami.

Alors qu’elle dansait le premier slow de la soirée avec Isaac, celui qu’elle attentait impatiemment arriva. Un regard fut échanger entre la Cheerio et son cavalier, et celui-ci en gentleman laissa la place au nouvel arrivant ! « Antoine » se dit-elle intérieurement. Elle allait presque pleurer de joie en le voyant. Il lui glissa une excuse pour son retard, Madison hocha la tête en signe d’acceptation. Quel genre de mère retenait son fils le jour du bal ? Peut importe, à présent il était là. Un peu distant, il accepta la proposition de la demoiselle. Alors qu’ils s’apprêtaient à danser, Antoine finit par parler : « Tu es magnifique Madison Sullivan, tu l’es tous les jours mais ce soir tout spécialement. » La jolie blonde se mit à rougir, comme à son habitude. Elle aimait les compliments, mais ne pouvait s’empêcher d’être gêné.

« Merci. Et toi, tu es magnifique dans ce costume… tu fais … homme… oui, l’homme dont j’ai rêvé toutes les nuits qui m’ont éloigné de toi. »

Madison n’arrêtait pas de se remémorer cette fameuse soirée chez Saphira. Elle ne pourra jamais assez remercier sa meilleure amie pour avoir organiser cette soirée ! Elle aurait aimé ne plus quitter cette soirée, ne plus revenir à la réalité du lycée…et de la vie de tous les jours. Ne pas pouvoir dormir aux cotés de son tendre et cher, lui manquait beaucoup !

Alors qu’ils se mirent à danser, un slow langoureux et extrêmement romantique ! Elle plongea son regard dans celui d’Antoine, ses bras autour du cou du jeune homme, elle se mit à parler.

« Tu m’as manqué Antoine. Les journées, et les nuits sont longues sans toi… je crois que je suis … accro. Oui c’est bien le mot, accro à toi, à ta présence. »

Elle afficha un petit sourire timide, puis se colla à lui.

Antoine était rassuré maintenant. Rassuré parce qu’il tenait Madison dans ses bras et qu’elle ne semblait pas vouloir en sortir. Entre l’invitation qu’elle avait reçue d’Isaac et le retour de Taylor à Lima, il avait pas mal de raisons d’être inquiet. Ce n’était pas en Maddy qu’il n’avait pas confiance mais plutôt en Taylor et Isaac. Les choses avaient changés et peut-être que l’absence du jeune homme lui avait permis de changer et que Madison finirait par le choisir une nouvelle fois. Rien qu’à cette pensée, il frissonna et essaye de ne pas trop y penser. Antoine était sûr de lui pour tout sauf quand ses sentiments étaient en jeu, c’était tout simplement son point faible et la chose semblait perdurer. Enfin, pour l’instant, ils étaient tous les deux sur la piste de danse en train de danser un slow et le jeune homme se promit de remercier sa mère le soir en rentrant de l’avoir forcé à y aller parce qu’au final il aurait vexé Madison plus qu’autre chose. Stop, ses pensées devaient s’arrêter là et il ne devait plus penser qu’à la jeune femme qu’il tenait dans ses bras. C’était le plus important et le reste finirait bien par entrer dans l’ordre … La peur de la perdre une nouvelle fois restait cependant présente chez Antoine mais il avait suffisamment de présence pour cacher tout cela. C’était un avantage qu’il avait toujours trouvé génial car il arrivait ainsi à cacher pas mal de choses. Est-ce qu’il allait pouvoir garder Madison toute la soirée avec lui ? Il l’espérait car c’était sa petite amie mais peut-être qu’Isaac reviendrait la chercher et dans ce cas, Antoine repartirait chez lui car sa place n’était plus dans cette salle remplie de monde. Le monde ne l’avait jamais gêné mais cette ambiance de bal ne lui plaisait pas alors l’affronter tout seul, ce n’était pas la peine d’y penser …

« Merci. Et toi, tu es magnifique dans ce costume… tu fais … homme… oui, l’homme dont j’ai rêvé toutes les nuits qui m’ont éloigné de toi. » Antoine ne put s’empêcher de laisser un petit sourire s’afficher sur son visage quand Madison lui dit tout cela. Alors elle rêvait de lui ? C’était toujours bon à savoir ça … Lui aussi pensait à elle parce que quand on est amoureux, on ne peut pas s’empêcher de penser à l’autre. Ils se voyaient souvent durant la journée mais jamais assez au goût d’Antoine et puis après, ils devaient rentrer respectivement chez eux et malgré les messages et les appels qu’ils échangeaient, ils n’étaient pas l’un avec l’autre. Voilà quelque chose qui leur pesait mais en même temps, comment y remédier ? Antoine eut alors une idée … Il dit d’abord : « Tu rêves de moi ? Intéressant … Que dirais-tu de venir passer la nuit à la maison ce soir ? Mon père n’est pas là et ma mère dormira quand on rentrera. » Lui dit-il avec un sourire. Il l’invitait réellement à dormir et non à faire autre chose. Juste la tenir dans ses bras toute la nuit, c’était ce qu’il demandait et rien de plus. Comment allait-elle le comprendre ? Il allait le voir très bientôt de toute manière, il ne se faisait aucun soucis là dessus … « Tu m’as manqué Antoine. Les journées, et les nuits sont longues sans toi… je crois que je suis … accro. Oui c’est bien le mot, accro à toi, à ta présence. » Antoine fut un peu étonné de cette révélation mais il devait avouer qu’il était tout de même ravi de l’entendre et qui ne le serait pas ? Lui aussi était accro à la demoiselle et pas qu’à sa présence, à elle toute entière. C’était son petit rayon de soleil, sa princesse à lui et il ne voulait pas qu’on la lui arrache, il en était hors de question. Le jeune homme laissa une de ses mains jouer avec une mèche de la blondinette, elle était tellement belle ce soir … Les autres semblaient tous sortis d’un autre monde. « Je suis accro à toi aussi Madison. Accro à ton sourire qui illumine mes journées, accro à ta présence qui me fait penser à autre chose, accro à toi toute entière et je ne crois pas que cela se soigne. » Dit-il en riant un peu. Mais voulait-il que cela se soigne, telle était la question. Relevant la tête de Maddy, il déposa ses lèvres contre les siennes, acte qu’il aurait du faire dès qu’il était arrivé mais il n’avait pas vraiment osé. Maintenant, il en avait besoin, énormément besoin. Une fois le baiser terminé et à bout de souffle, Antoine murmura à sa belle : « Tu m’as manqué aussi ma chérie. Tu es la plus belle ce soir et quoi qu’il arrive, je n’arrêterai pas de t’aimer. »

Les bras d’Antoine étaient tellement réconfortants. Madison ne se sentait bien qu’au creux de ceux-ci. La jeune femme avait été perdue dans ses sentiments ses derniers temps, qu’elle espérait qu’Antoine lui redonne confiance en elle. Elle l’aimait, elle en était certaine… mais elle avait toujours peur qu’un jour il finisse par se désintéresser d’elle. Fleur bleu, Madison voulait de l’amour, elle rêve d’avoir quelqu’un à ses cotés qui l’aime et qui prenne soin d’elle… une chose dont elle a té privée trop longtemps à cause de sa mère. Sa tête posé contre le torse d’Antoine, elle espérait que sa vie soit enfin un long fleuve tranquille… car il faut l’avouer ses derniers mois on été trop « mouvementé » pour elle ! Confidence, pour confidence, Maddy avoua son point faible à Antoine. Elle aimait la chaleur de ses bras, et elle trouvait les journées, et les nuits longues sans lui. Le jeune homme comprenait puisqu’apparemment, il était dans le même cas qu’elle. Sa proposition étonna la jeune femme mais cela lui fit le plus grand plaisir. Elle n’avait pas du tout prévu de dormir autre part que dans son appartement, mais elle ne pouvait pas refuser une telle offre… bien sur, elle savait pertinemment qu’Antoine ne lui faisait pas une proposition indécente. Elle le connaissait assez bien pour savoir que ce n’était pas son genre ! Madison avait tant rêvé pouvoir s’endormir, et se réveiller dans les bras de son amant. Elle écarquilla les yeux et ajouta :

« J’accepte avec plaisir. Merci Antoine, merci de prendre soin de moi. »

La musique continuait toujours de passer, un slow qui pourrait durer une éternité, Madison se sentait dans un autre monde ; comme si ils n’étaient que tous les deux dans cette salle pourtant bondé de lycéens. La jolie blonde se moquait bien de ce qu’on pouvait dire sur elle, et Antoine à ce moment là, elle était dans ses bras et c’est tout ce qui comptait pour elle. Leur corps collés l’un contre l’autre, Madison pouvait sentir le cœur de son compagnon battre la chamade. D’un geste il releva la tête de Madison pour y déposer un baiser. Un instant magique qui rassurait la jeune femme. Elle avait tellement eu peur de l’avoir blesser avec cette histoire de bal, et de cavalier. Elle profita de ce moment, pour glisser sa main dans la nuque d’Antoine. Puis les yeux dans les yeux, Madison sourit face aux mots du jeune homme.

« Je t’aime Antoine, et ne l’oublie pas. Je sais que ses derniers jours n’ont pas été facile pour toi… crois-moi, c’est avec toi que je veux être. Rien que toi. »

A nouveau la jolie blonde rapprocha son visage afin d’embrasser Antoine. Le retour de Taylor avait dut bousculer l’esprit du beau brun… mais quoi qu’il en pense Madison ne fera pas machine arrière. Même si le blondinet était de retour, Maddy ne ferait pas la même erreur. Elle tenait à Antoine plus que tout, et savait que c’était lui, et personne d’autre qui lui fallait. Madison saisit la main d’Antoine, et ajouta :

« Tu veux qu’on sorte un peu ? Prendre l’air et parler ? On ne s’entend pas très bien ici. »

La soirée du bal se passait à merveille, toutes les filles rêvaient de devenir la « reine de McKinley » mais Madison savait pertinemment qu’elle n’avait aucune chance. Aux dernières nouvelles, elle n’était plus la Cheerio populaire de l’année dernière. C’était surement Quinn, ou encore Beverly qui allait avoir la couronne. Mais peu importe, Madison avait ce qu’elle voulait le plus au monde… un homme qui l’aime.

Elle attendu la réponse d’Antoine, tout en observant ce qui se déroulait autour d’elle, ainsi que les couples plus au moins coordonné présent ce soir.

Il était difficile de ne pas craquer devant une fille comme Madison et c’était pourquoi Antoine avait peur de la perdre. Pendant ces longs mois, il s’était persuadé qu’il ne ferait jamais le bonheur de la jeune fille et que si elle était partie le chercher ailleurs c’était qu’il y avait bien une raison à tout cela. Aussi étonnant que cela puisse paraître, Antoine avait toujours des doutes là dessus surtout que le retour de Taylor n’arrangeait rien et qu’elle vienne au bal avec Isaac non plus. Sur ce dernier point pourtant, il savait bien que tout était de sa faute. Mais il ne voulait pas non plus trop se torturer l’esprit mais profiter du moment présent. A toujours avoir peur de l’avenir, on finit par passer à côté de ce que l’on a. Si Madison devait partir pour quelqu’un d’autre, il ferait tout pour la retenir bien entendu mais si cela ne servait à rien, il devrait se résoudre à la laisser partir peu importe le prix à payer de son côté. Les histoires de lycéens sont connues pour être frivoles et peu importantes mais Antoine espérait que ce n’était pas le cas de celle qu’il était en train de vivre dans les bras de celle qu’il trouvait la plus belle de toutes. La proposition que le jeune homme avait fait à celle qu’il aimait n’était pas du tout censée être déplacée. Il la voulait dans ses bras c’était tout ce à quoi il pensait en réalité. Il était évident que si Madison le tentait un de ces jours il répondrait favorablement parce qu’en tant que sa petite amie, elle lui faisait envie comme personne d’autre mais cela arriverait le jour où cela devrait arriver et ce n’était certainement pas ce soir, pas après si peu de temps depuis leur réconciliation. Certains auraient déjà consommés leur réconciliation mais pour Antoine, ce moment devait être spécial pour montrer à quel point il tenait à la jeune femme. Cela fait certainement très fille vu de cette manière mais coucher à droite à gauche même si c’était la réputation de pas mal de footballeurs n’avait jamais été quelque chose que le jeune homme avait pratiqué et il ne comptait pas le faire. Bien entendu il n’était plus vierge depuis longtemps mais n’en profitait pas non plus pour coucher à droite à gauche. « J’accepte avec plaisir. Merci Antoine, merci de prendre soin de moi. » Antoine ne put s’empêcher de laisser un sourire s’installer sur ses lèvres. Il devait prendre soin d’elle, c’était son rôle et il ne voulait personne à sa place. C’était sa princesse rien qu’à lui et elle méritait bien plus que ce qu’elle n’avait déjà surtout maintenant qu’il connaissait son enfance tumultueuse. « Je serai toujours là Maddy, toujours. Même si un jour tu ne veux plus de moi, je serai là et tu pourras compter sur moi autant qu’aujourd’hui. » Antoine le pensait réellement. Si un jour ils étaient amené à se séparer, il espérait sincèrement qu’ils resteraient amis pour que le jeune homme puisse prendre soin d’elle et qui sait ? La sortir de situation indésirée peut-être …

« Je t’aime Antoine, et ne l’oublie pas. Je sais que ses derniers jours n’ont pas été facile pour toi… crois-moi, c’est avec toi que je veux être. Rien que toi. » Le baiser qui suivit suffit à rendre cette déclaration plus que spéciale pour Antoine. Les filles sont romantiques, toujours plus que les garçons et elles font toujours de belles déclarations. Ce qu’il venait d’entendre faisait chaud au cœur du jeune homme mais ce n’était pas des sentiments de Madison qu’il doutait le plus mais de l’emprise et de l’envie de la conquérir des autres personnes de l’équipe comme Taylor par exemple. Même s’ils étaient amis, quand il était question de fille, il fallait tout le temps de méfier et combien de fois elles finissent par changer d’avis alors que le pauvre gars n’a rien vu venir … Antoine ne voulait pas être ce pauvre gars et il avait décidé qu’il ne le serait pas. « Et tu sais que moi je ne veux que toi ma belle. Tu es la seule qui arrive à faire battre mon cœur aussi vite. » Lui dit-il en prenant sa main et en la mettant sur son cœur qui battait effectivement à cent à l’heure. Antoine ne put s’empêcher de rire de cette stupidité mais il n’avait pas pu s’en empêcher, c’était plus fort que lui. Ils continuaient à danser l’un contre l’autre tout en profitant du confort des bras de chacun. La chanson touchait à sa fin et Madison lui dit : « Tu veux qu’on sorte un peu ? Prendre l’air et parler ? On ne s’entend pas très bien ici. » Elle avait déjà attrapé sa main et le jeune homme sourit une idée derrière la tête. « Suis-moi. » Lui murmura-t-il avec un sourire sur les lèvres. Commençant à avancer, il les conduisit vers la sortie de la salle. Là, il quitta le lycée et vit sur le visage de la demoiselle qu’elle ne savait pas du tout où ils allaient. Parfait ! C’était tant mieux ! Descendant quelques escaliers, ils finirent par arriver sur le terrain de foot. Lieu de tellement de choses … Antoine posa sa veste au milieu du terrain et dit : « J’aime venir ici quand il n’y a personnes, c’est tellement plus beau je trouve. Tu sais Maddy, le retour de Taylor ne m’a pas rassuré et ne me rassure toujours pas. J’ai confiance en toi bien entendu mais pas en lui je ne sais pas pourquoi. En attendant, profitons de cette soirée spéciale … » Avançant vers elle, il la prit dans ses bras comme une princesse et lui dit après avoir déposé ses lèvres sur les siennes : « J’ai un cadeau pour toi tu sais. »

Il y a les couples, et il y a le couple que Madison formait avec Antoine aujourd’hui. Comment expliquer cette attirance qu’il y a toujours eu entre eux ? Au premier regard, Madison avait sentit son cœur faire demi-tour, des palpitations qu’elle avait tenté de calmer ! Ils étaient devenue assez proche, comme une amitié qui ne pouvait qu’évoluer en une love story. La jolie blonde avait toujours ressentit quelque chose de spécial pour ce footballeur au grand cœur, elle ne l’avait jamais vu briser des cœurs, ou même se servir des filles. Elle savait qu’il était différent des autres, et c’est pour cela qu’elle pensait ne pas être à la hauteur. Madison avait se problème, se sous-estime d’elle-même… elle n’avait jamais eu le droit au bonheur depuis son enfant … et ne pensait pas y avoir le droit aujourd’hui. Pourtant Antoine était là pour elle, avec des paroles et des gestes réconfortants. Mais cette maladie, elle allait surement l’oublier au fur et à mesure de leur relation. Elle était sûre au fond d’elle qu’il ne lui ferait jamais de mal, si leur relation venait à prendre fin … il sera lui dire en douceur. Mais là dans ses bras, elle ne voulait pas penser à cela. Elle espérait vraiment que celui-ci était l’homme de sa vie, celui qui partagera sa vie durant de longue année. Oui, c’était là aux creux de ses bras que la jolie blonde était le mieux, elle oubliait ses problèmes familiaux et ses conflits au lycée.

Dormir chez Antoine était une preuve de son amour. Après tout, le matin au réveil la jeune femme devra surement rencontrer sa mère, son père… Maddy n’avait aucune affaire pour dormir chez Antoine, mais elle s’en fichait un peu. Elle lui emprunterait un tee-shirt qui fera surement l’affaire, tout ce qu’elle voulait, c’était se blottir contre lui. Et enfin dormir, et pourquoi ne pas rêver. Chose qu’elle ne faisait plus lorsqu’elle était seule. Elle voulait se réveiller à ses cotés, tant pis si elle n’était pas maquiller et superficielle … si il l’invitait chez lui, c’est surement parce qu’il l’aimait, un point c’est tout.

Le jeune homme parlait, et la jolie blonde buvait ses paroles, il était vraiment unique. Un garçon romantique ça existe encore ? Oui, et Madison en avait un ! . « Et tu sais que moi je ne veux que toi ma belle. Tu es la seule qui arrive à faire battre mon cœur aussi vite. » La jeune femme laissa Antoine guider sa main, son cœur battait la chamade tout comme celui d’Antoine. Elle appréciait ce geste, sentir son cœur sous sa paume était en effet si touchant. Puis elle attrapa sa main, et lui posa une question. Oui, elle voulait lui parler, et surtout partager un moment unique tous les deux. Alors qu’il ajouta « suis-moi ! » la jeune femme se prit au jeu. Ils quittèrent le gymnase, et la jolie blonde ne put s’empêcher de dire :

« Mais où m’emmènes-tu ? »

Elle savait très bien qu’elle n’aurait la réponse qu’une fois arriver sur le lieu ! Mais c’était instinctif. Le terrain de foot. Un endroit mythique autant pour Antoine que pour Madison. S’il jouait pratiquement tous les jours ici, Maddy y effectuait quelques entrainements et surtout elle venait encore les footballeurs de l’équipe, et surtout l’homme qu’elle désirait. Le jeune homme laissa tomber sa veste sur l’herbe, puis ajouta qu’il avait peur depuis le retour de Taylor à McKinley. Pourtant il n’y avait pas de crainte à avoir ; Madison avait comprit la leçon. Elle voulut ajouter quelque chose, mais le beau brun déposa ses lèvres sur les siennes. Profitant de cet instant, la jolie blonde en oublia qu’elle était sur le terrain de football du lycée. Un cadeau ? Lequel ?

« Antoine, c’est toi mon cadeau. Tu as illuminé ma soirée, et ma vie tout simplement. Tu n’as pas à avoir peur du retour de Taylor, puisque je ne vois que toi, je n’ai besoin que de toi… et j’ai envie … que de toi. »

La dernière phrase était un petit sous-entendu mais tellement logique. Lorsqu’on aime quelqu’un … on a forcement envie de lui aussi.

Dans des moments pareils, il est impossible de s’imaginer ne plus être avec la fille que l’on aime. Antoine ne voyait pas encore la fin de leur relation et il espérait sincèrement qu’elle n’arriverait jamais. Il avait besoin de Madison lui aussi parce qu’elle était celle qui l’aidait à ne pas se concentrer uniquement sur le football mais à faire d’autres choses et elle lui apprenait comment aimer quelqu’un de tout son cœur. Durant ses années au collège, Antoine avait cru aimer les filles avec qui il était sorti mais en réalité, ce n’était rien comparé à ce qu’il vivait maintenant avec Madison. Il lui avait proposé de venir dormir chez lui parce qu’il voulait qu’elle reste dans ses bras, qu’elle ne le quitte plus. Il n’avait aucune pensée déplacée mais le jeune homme était tout de même un garçon et ne pouvait s’empêcher de penser à cela. Mais il était près à attendre, il n’était pas à une semaine, à un mois près maintenant, tout ce qui comptait c’était qu’elle se sente prête et qu’elle le veuille aussi fort que lui. Une relation pouvait être consumée dans tellement de manières différentes qu’ils ne risquaient pas de s’ennuyer … Ils étaient maintenant descendus sur le terrain de football où ils étaient certain s’être tranquille. C’était un lieu excentré du lycée, il fallait quelques minutes pour y aller et tout le monde était bien trop occupé à danser. Antoine et Madison avaient préféré s’exiler dans un endroit tranquille, un endroit où ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient et parler de n’importe quoi. Au départ, elle n’avait pas compris où il les amenait mais elle avait finis par voir et vu l’air qui s’afficha sur son visage, elle semblait plutôt heureuse d’être ici. Tant mieux parce que c’était le but, la rendre heureuse, la faire sourire tout ce dont elle avait manqué pendant des années. Et surtout, s’occuper d’elle, lui montrer qu’elle valait la peine d’être aimée et qu’elle méritait cet amour qu’Antoine lui avait donné dès le premier jour. Ils étaient rapidement devenus proches et pour eux, se mettre ensemble n’avait été que la suite logique du début de leur relation. Antoine croyait aux relations filles/garçons mais il y avait tout de même des fois où ce type de relation ne peut tout simplement pas se mettre en place, c’est impossible …

Antoine avait acheté un cadeau pour Madison, il l’avait prévu depuis un moment mais n’avait pas eu le courage de le lui donner avant. C’était un pendentif en forme de pompon car il n’était pas sans savoir que la jeune blonde aimait cette pratique plus que tout. Après tout pourquoi pas, lui aimait le sport alors elle pouvait aimer cet espèce de danse acrobatique et sincèrement, que feraient les sportifs sans leurs cheerios ? Il l’avait dans sa poche et était prêt à lui donner. D’un côté de ce pompon, il avait fait graver sur le bijoux : « I love you always and forever A. » C’était peut-être pathétique mais au moins, il était certain quel ne pouvait pas l’oublier de cette manière. Ce petit pendentif serait comme un symbole de l’amour qu’ils partageaient. Mais avant qu’il n’ait pu dire un mot sur le cadeau, Madison lui dit : « Antoine, c’est toi mon cadeau. Tu as illuminé ma soirée, et ma vie tout simplement. Tu n’as pas à avoir peur du retour de Taylor, puisque je ne vois que toi, je n’ai besoin que de toi… et j’ai envie … que de toi. » Surpris, c’était ce qu’Antoine était. Il ne devait pas avoir peur de Taylor ? Il ne pourrait s’empêcher de le faire, c’était inconscient. Alors il le ferait mais un peu et en silence. Mais la meilleure nouvelle était sans doute qu’elle avait envi de lui. Cela tombait plutôt bien à vraie dire parce que lui aussi mais elle devait s’en douter parce qu’elle était irrésistible. La rapprochant encore un peu de lui, Antoine posa ses mains sur les hanches de la demoiselle et lui murmura à l’oreille : « Ce sentiment est partagé alors parce que tu dois savoir que je n’ai envi que de toi aussi. Toi et rien que toi parce que tu es encore plus magnifique ce soir et que cette robe est une pure torture. » Dit-il en souriant. Mais il n’en avait pas oublié le cadeau loin de là. Se reculant un peu, il fouilla dans sa poche mais avant de le sortir, il lui dit : « Ferme les yeux. » Elle le regarda surprise mais elle finit par le faire. Sortant le bijoux, Antoine se mit derrière la demoiselle et lui mit le pendentif autour du cou. Il déposa quelques baisers dans son cou et sur ses épaules avant de lui dire : « Ouvre les yeux. » Il ne pouvait pas vérifier qu’elle l’ait fait mais elle devait logiquement l’avoir fait. Le jeune homme ne put s’empêcher de passer ses mains autour du ventre de la demoiselle et il lui dit : « J’espère que ça te plaira. » Oui, il l’espérait très fort et il attendait sa réaction tellement son cœur battait vite, rien que pour se soulager.

Le stade, voilà un endroit curieux pour emmener une jeune fille pour lui faire la cour … mais pas tant que ça. Nous avions là, un footballeur et une Cheerleader, le stade était pour eux un endroit symbolique, et surtout un lieu cher pour eux ! Ils passaient la moitié de leur temps ici ! Antoine pour ses entrainements et matchs, et Madison pour soutenir l’équipe de McKinley dans son uniforme rouge. Alors le jeune homme avait vraiment bien choisit ce lieu. Face à face, la jolie blonde avait les yeux qui brillaient comme les étoiles qui les surplombaient. Elle se demandait ce qu’Antoine avait d’important à lui dire, ou plutôt lui offrir. Elle qui 10 minutes plutôt pensait qu’il ne viendrait pas au bal … se retrouvait là ; plus heureuse que jamais.

La jolie blonde savait que sa vie n’était pas un cadeau, autant pour elle que pour tout ceux qui la côtoyait. Il lui arrivait souvent d’être souriante et d’une minutes à l’autres ; triste. Les souvenirs de son enfance, et de son adolescence n’avaient rien de joyeux. Mais elle savait qu’Antoine avait la patience, et surtout qu’il l’aimait assez pour lui rendre le sourire. Aujourd’hui elle lui avait tout dit, elle lui avait dévoilé ses plus sombres secrets … alors elle savait qu’elle pouvait lui faire confiance. Et puis, s’il était vraiment son prince charmant ? Si c’était lui l’homme de sa vie ? En tout cas, elle l’espérait de tout son cœur, elle était si bien avec lui… que même le retour de Taylor ne changerait rien !

Les quelques mots que le jeune homme lui susurra à l’oreille, fit sourire la demoiselle. Alors ils étaient tous les deux dans le même cas ? Evidement ; ces deux là s’aimaient et cela se voyait ! Elle eu même un petit rire lorsqu’elle entendu cette fin de phrase « cette robe est une pure torture ». Elle ajouta même avant qu’il ne lui dise de fermer les yeux :

« De tout façon, il faudra bien l’enlever à un moment donné ! »

Puis elle s’exécuta, elle ferma les yeux. Madison sentit quelque chose glisser autour de son cou, un collier qu’Antoine prit soin de lui attacher. Elle sentit les lèvres d’Antoine se poser sur son cou, puis ses épaules. Elle finit par ouvrir les yeux comme il lui autorisa, et regarda le pendentif qu’elle avait autour du cou. Elle écarquilla les yeux ; puis lu l’inscription au dos. Des larmes lui montèrent aux yeux ; elle n’avait jamais eu autant de geste d’attention, et encore moins de cadeaux aussi sentimentale.

« Antoine, je ne sais pas quoi dire. Merci, ce cadeau est magnifique… il me correspond tellement. Je t’aime Antoine, et je suis heureuse de t’avoir retrouvé. »

Elle regarda à nouveau le pendentif puis s’approcha de son visage pour y déposer un baiser langoureux. Elle se blottit contre lui, contre son torse. Puis d’un sourire amuser, elle fini par ajouter :

« Alors comme ça tu as envie de m’arracher ma robe ? »

Elle eu un petit rire puis leva les yeux vers le jeune. Son regard pétillant, elle glissa ses mains autour du cou du jeu homme. Puis reposa à nouveau ses lèvres sur les siennes.