Sarah ♦ 'Cause today I don't feel like doing anything

Sarah VAUGHN

Sarah ♦ 'Cause today I don't feel like doing anything One14

Date de Naissance : 6 février 1994
Âge : 16 ans
Groupe : Awesome Voices
Occupation : (Emploi pour les adultes)
Copyright : •niris

Interview par Jacob Ben Israel

« Une question que tout le monde se pose, c'est : de quoi est faite votre existence ? Avez-vous des anecdotes intéressantes à nous raconter ? C'était quand votre première fois ? Avec qui ? Où ? »

Anecdote #1 : It's so cool and it's totally awesome

Ce petit être, que vous voyez là, en train de s'égosiller dans les bras de sa mère, c'est Sarah. Sarah Vaughn, fille unique de Madame Vaughn et de Monsieur X. La mère s'est retrouvée seule pour donner le jour à sa fille. Seule dans cette maternité remplie d'inconnus parfaits. Mais, c'était le cadet de ses soucis. Elle serrait son unique héritière dans ses bras, tellement heureuse d'avoir un enfant. Madame Vaughn ne se lassait jamais de l'observer. Ses petites joues rebondies, sa peau bien rose, les quelques cheveux épars sur le crâne. De temps à autre, lorsque le bébé dormait, elle pouvait entendre les ronflements de ce dernier. Elle aimait ce bruit. Elle aurait pu passer des heures à la fixer, à rêver d'elle, à la bercer en lui chantonnant quelques musiques enfantines. Quand l'infirmière entra dans la chambre pour les vérifications quotidiennes, elle ne s'aperçut même pas de sa présence tellement sa fille la fascinait.

« Madame Vaughn ? »

Celle-ci daigna quitter le nourrisson des yeux pour les poser sur la femme en blouse bleue pâle.

« C'est l'heure de peser et de mesurer votre fille. »
« D'accord. J'arrive tout de suite. »

La jeune mère prit délicatement Sarah dans ses bras, faisant attention de ne pas la réveiller. Et elle s'en alla porter ce petit bout de femme vers la balance et la toise.

Anecdotes #2 & #3 : Can we prentend that airplanes in the night sky are like shooting stars ?

« Maman, je veux faire ça, plus tard ! »

La petite fille pointait du doigt l'écran de télévision qui renvoyait des images de basketteurs. Elle était fascinée par ce joueur noir, répondant au nom de Michael Jordan. Son jeu était tout simplement superbe. Mais, trop petite pour comprendre, Sarah le suivait des yeux et de temps en temps, on pouvait la voir tenter de faire la même chose avec une balle en mousse. Il arrivait qu'elle casse quelque chose dans la maison, au grand dam de sa mère. Madame Vaughn s'escrimait à lui dire que le basket n'était pas un sport pour les petites filles, que toutes les princesses dans son genre s'intéressaient à la danse.

« Mais c'est ça que je veux faire ! Comme le monsieur noir ! »

Sa mère ne se laissa pas démonter. Les cours de basket étaient bien au dessus de ses moyens pour qu'elle songe seulement à inscrire sa fille, encore petite. Comme tous les enfants, Sarah se mit à bouder. En guise de protestation, elle coupa les cheveux des poupées qu'elle avait et balançait ses nounours dans le couloir de la maison, menant à sa chambre. Puis, elle croisait des bras et baissait rageusement la tête. Elle ne mangerait pas tant que sa mère n'aurait pas satisfait sa demande. Pourtant, ses bouderies finissaient toujours bien. Sarah était facile à amadouer, lorsqu'elle était jeune. Un bon gâteau au chocolat ultra fondant, et ses caprices étaient passés.

« Maman ? Pourquoi je peux pas faire comme le monsieur noir ? »
« Parce que, ma chérie, tu es encore trop petite pour faire cela. Les paniers sont bien trop hauts pour que tu lances le ballon dedans. »
« Maman ? C'est quoi un panier ? Quand est-ce que je pourrais faire comme le monsieur comme une grande ? »

Sa mère reposa la bouteille de jus d'orange et observa sa fille cinq minutes. Elle voyait en elle bien plus qu'elle n'y aurait cru. Mais l'image du père de Sarah s'imposa à elle avec une telle force que les larmes lui vinrent aux yeux. Elle se leva brusquement et tourna le dos à sa fille, prétextant avoir un coup de fil à passer. En réalité, c'était parce que ses revenus ne lui permettaient pas de lui assurer ces cours de basket. Le peu d'argent que gagnait Madame Vaughn était mis de côté pour financer les études de son enfant. C'était la dernière conversation que Sarah put avoir avec sa mère quant au basket.

• • • • •

Black or White de Michael Jackson était diffusé à la radio au moment même où la petite fille grimpa dans la voiture. Elle laissa sa mère charger les courses dans le coffre et se concentra sur le rythme de la musique. Un immense sourire s'étalait sur son visage et elle tenta de chanter les quelques mots qui lui étaient accessibles. Elle ne se débrouillait pas trop mal. Quand sa mère entra dans la voiture, elle vit sa fille danser sur son rehausser et chanter à pleine voix sur un chanteur qu'elle-même n'écoutait jamais. Elle s'étonnait de la puissance avec laquelle sa fille se donnait à suivre Michael. Un mince sourire nostalgique se dessina sur ses lèvres tandis que la voiture démarrait. Au premier feu rouge, la chanson amorçait déjà sa fin et la petite fille poussait des cris de mécontentements.

« Encore ! Encore ! Remets, Maman. Encore ! »

Sa mère lui expliqua qu'elle ne pouvait pas remettre la chanson, que ce n'était pas elle qui choisissait les musiques diffusées à la radio. La gamine poussa un profond soupir de déception et se mit à marmonner vaguement l'air. Quelques dizaines de minutes plus tard, la voiture se rangea dans l'allée de la maison et s'immobilisa totalement. Sans attendre, Sarah se détacha et sortit en bondissant de la voiture. Elle se dirigea en courant vers la maison d'en face, où petite fille qu'elle ne connaissait que de vue, jouait. Sans se préoccuper des préambules, elle dit, d'une voix enjouée, à la petite fille qui jouait :

« Dis, est-ce que tu connais le monsieur qui chante '' It don't matter if you're black or white '' ? La musique est trop bien ! Moi, j'adore ! »
« Sarah, laisse Oxanna tranquille ! »
« Mais Maman, je veux lui chanter le monsieur de tout à l'heure ! » »

Après de multiples répétitions de sa mère, Sarah promit à la voisine d'en face, répondant au doux nom d'Oxanna, de revenir lui chanter le « monsieur de tout à l'heure ».

Anecdote #4 : Well your faith was strong but you needed proof, you saw her bathing on the roof, her beauty and the moonlight overthrew you.

« Maman ! Je sors ! »
« Tu vas où, chérie ? »
« Je passe la soirée chez Nina. Je reviens demain je dors chez elle. Bisous ! »

Sarah saisit son sac par les anses et le balança sur son épaule, avant de s'échapper de la maison. Sortant de sa poche son fidèle ami, elle le mit en marche et fit défiler devant ses yeux les playlist qui s'agrandissaient de jour en jour. En fait, il ne se passait pas un jour sans que la musique lui traverse de part et d'autres les oreilles. Lorsqu'on interrogeait sa mère, sa fille était toujours en train de chanter : sous la douche, lorsqu'une chanson que l'adolescente qualifiait « d'ultra géniale » passait à la télévision ou à la radio, lorsqu'elle était connectée à internet. Lui avoir acheté un baladeur mp3 n'avait rien arrangé. Mais tant que sa fille était heureuse, elle le serait. Elle savait que l'ère des mp3 commençait à s'effacer au profit des nouveautés d'Apple, mais Madame Vaughn ne pouvait pas se permettre un écart de plus de 200$ sur son budget. Elle savait que sa fille n'irait pas le lui réclamer. Le seul vrai caprice qu'elle avait pu lui faire était dans sa plus tendre enfance, lorsqu'elle avait ardemment exigé de faire du basket. La conversation n'avait toujours pas été poursuivie depuis.
Sarah bifurqua à droite puis à gauche, s'engagea dans différentes rues et arriva à un parc, d'apparence miteuse mais qui gardait malgré tout un certain charme, près d'un terrain de basket. Nina, une de ses amies, l'attendait sur un banc, plongée dans un livre comme à son habitude. Lorsque la jeune adolescente lança un « Salut Nina ! » retentissait à sa copine, la lectrice sursauta et leva les yeux de son bouquin en éructant un « Plus jamais ça, Sarah ! ». Sarah lui présenta sa main grande ouverte afin que Nina lui '' en tape five ''.Sarah était peu encline aux bises et autres. En regardant l'autre adolescente, elle constata qu'elle s'était appliquée du fard à paupières, un peu de mascara et un soupçon de rouge à lèvres. Lorsque la brune lui demanda si elle avait rendez-vous avec son amoureux, la rousse lui répondit :

« Tu sais, Sarah, tu devrais te maquiller bien plus souvent. Ça t'irait bien ! Si tu veux, ce soir, on se fait une soirée girly en matant des films de filles à la télé et en mangeant des pop corn tout en se faisant une manucure. Je pourrais même te prêter quelques robes. T'en dis quoi ? »

Un rire fusa instantanément des lèvres de Sarah. Elle laissa tomber son sac et se leva pour faire face à Nina. Ecartant les bras dans un geste théâtral, elle déclara d'une voix joyeuse :

« Non, mais tu m'as bien vu ? Tu crois que je veux ressembler à toutes ces prostip**es ? Je préfère largement mes tee-shirts amples et mes jeans que des robes qui te boudinent. »
« Merci pour moi ! »
« Y a pas de quoi. »

Elle esquissa un immense sourire narquois à Nina qui la tapait avec son livre. Lorsque cette guerre bon enfant passa, les filles discutèrent de choses et autres. La famille, le collège, le dernier film vu au cinéma... Jamais Mademoiselle Vaughn ne lui avait parlé de sa passion sans cesse grandissante pour le basket. Nina l'aurait poussé à prendre des cours et elle aurait été obligée d'en parler avec sa mère. Sarah voulait éviter le sujet, le souvenir de son enfance étant encore ancré dans sa mémoire. Soudain, à quelques mètres devant elles, un groupe de garçons, parlant extrêmement fort et rigolant comme des idiots. Nina poussa un gémissement plaintif. Sarah s’enquérait de la raison de cette plainte. Elle fut très simple. C'était, selon Nina, '' une bande de gros abrutis, crânant au basket dans l'espoir peut-être que je les remarque ''. Nina se leva et intima à Sarah de venir avec elle, elles devaient partir d'ici avant que ça '' dégénère ''.
Au lieu de suivre sa copine, Vaughn partit en direction du terrain et, arrivée à destination, demanda aux garçons si elle pouvait jouer. Les garçons lui rirent au nez. L'un d'eux lui demanda si elle savait jouer. Répondant que non mais qu'ils allaient lui apprendre, elle dribbla pour la première fois de sa vie. Il se révéla qu'elle apprenait vite ce qu'on lui disait. Et elle n'oubliait pas ce que les garçons lui montraient.
Une heure ou deux plus tard, décidant qu'elle avait assez joué, elle retourna à l'endroit où elle avait laissé Nina. Son amie avait disparu, le sac de Sarah était laissé à l'abandon sur le banc. Un papier dépassait d'une des poches. Un papier qui n'y était pas auparavant. Nina était partie. Elle l'avait abandonnée. Elle l'avait quittée.

Anecdote #5 : I know you're somewhere out there, somewhere far away, I want you back

Il y avait quelque chose, bien au fond d'elle, qui germait depuis bien des années. Comme une graine qu'on n'avait pas vu venir, emportée par le vent et par de folles idées, qui prend racine en vous et vous empoisonne. Sarah avait ressenti ce manque, ce vide, causé par l'absence d'un père. Lorsqu'elle demandait à sa mère où était Papa, Madame Vaughn répondait toujours la même chose : « Il est parti se promener. ». Maintenant qu'elle avait grandi, sa mère pensait qu'elle était capable de supporter le poids fatal des vérités dissimulées. Elle lui révéla donc que son père l'avait abandonné, comme un chien qu'on laisserait sur la route au départ de vacances.

« Je te le dis, Oxanna. Je savais qu'il avait toujours existé ! Oh je n'arrive pas à croire que j'ai ses coordonnées sous les yeux ! Je fais quoi ? Je devrais lui acheter quoi ? Faut que je me calme, faut que je me calme ! »

Oxanna, c'est l'amie d'enfance de Sarah, celle à qui la petite brune avait chanté du Michael Jackson des années auparavant. Oxanna, c'est la petite blonde qui habite en face de chez elle. C'est l'une de ses personnes qui, au lieu de s'effacer avec le temps, prend une importance considérable au point de ne plus vouloir sortir de votre vie.
L'adolescente passa un chiffon sous l'eau et se l'appliqua sur le visage. Des larmes de joie dévalèrent ses joues. Elle rigolait, mélange de nervosité et de bonheur implicite. Elle se retourna vers son amie et, d'une voix tremblante dans laquelle perçait une gaieté non dissimulée, elle dit :

« Bon allez, je l'appelle. On verra bien. »

Attrapant le téléphone posé sur son socle, non loin de la table de la cuisine, Sarah composa le numéro de son géniteur. C'est avec le cœur battant dans les tempes, dans la poitrine, dans la gorge, avec une sueur froide dégoulinant le long de l'échine, qu'elle endura la tonalité d'attente. Et, lorsqu'on décrocha enfin, elle tremblait. Elle avait perdu tous ses moyens et tentait de reprendre ses esprits, de garder son sang froid.

« Cabinet du Docteur Layjoy, j'écoute! »
« Bonsoir Madame. Je me présente. Je m'appelle Sarah Vaughn et je désirerais parler à mon père, s'il-vous-plaît. »

Dans le lointain du combiné, elle entendit des bruits de pas et des murmures. La secrétaire déclara à un homme que c'était sa fille qui appelait. Un moment d'attente avait suivi quand l'homme, de sa voix grave, déclara qu'il ne désirait aucunement parler à sa fille et qu'il lui demandait aussi de ne pas entrer en contact avec lui. Sarah n'attendit pas que la secrétaire lui adresse les réponses de son père pour raccrocher. Elle en avait assez entendu. Elle reposa le combiné sur le socle et resta quelques minutes accrochée au rebord du plan de travail. Un grondement sourd sévissait dans sa tête, un martèlement lui écrabouillait le crâne. Il ne voulait pas lui parler, il ne voulait pas la voir ! Elle savait que ça ne voulait dire qu'une chose ; qu'il ne désirait pas la reconnaître. A ses anciennes larmes de joie venaient se mêler des larmes amères de déception, d'une cruelle déception. Elle se retourna subitement et gagna sa chambre en courant. La porte claqua et l'adolescente se jeta à plat ventre sur son lit qui subissait sans broncher les douleurs et les tourments de l'adolescence.

Anecdotes #6 & #7: It is the end of all hope, to lose the child, the faith, to end all the innocence, to be someone like me

Elle était sur la scène et, le cœur battant, elle observait les quelques personnes inconnues devant elle. C'est la première année au lycée de Sarah et, elle dut s'avouer qu'elle avait angoissé et qu'elle angoisse encore. Arrivera-t-elle à s'y faire ? Si on la rejette, que se passerait-il ? Lorsqu'elle était venue visiter le lycée en compagnie de sa mère, le terrain de football avait attiré son œil. L'espace de longs jours, de longues semaines, elle avait espéré pouvoir faire parti de ce club, mais ses espérances furent réduites à néant. Ce n'était pas un sport préconisé pour les filles. Contre toute attente, elle avait repéré quelques chorales qui semblaient pleines de bonne volonté. Elle avait décidé de tenter sa chance ; on verra bien ce qu'il adviendra. Et s'ils la refusaient ? Elle irait sans doute dans l'autre chorale et chanterait sa chanson. Après tout, qui tente rien n'a rien, comme elle aimait à se le dire. Les lumières l'éblouissaient et pourtant, elle baissa ses yeux vers les quelques personnes présentes.
Prenant son courage à deux mains, elle affronta son angoisse.

« Je vais vous chanter Just a dream, de Nelly. »

Tandis que les premières notes s'élevaient, Sarah se sentit gagnée d'une certaine confiance en elle et elle commença à chanter, se permettant de temps à autre quelques fioritures ici et là, dans la chanson. Elle avait aimé chanter dessus, dans sa chambre, lorsqu'elle faisait ses devoirs sur l'ordinateur. C'était sa chanson, celle qu'elle s'était appropriée, celle sur laquelle elle s'était permise de changer quelques trucs. Avec du recul, l'adolescente avait même fini par préférer sa version à l'originale.
Lorsque les dernière paroles arrivèrent à ses lèvres, un sourire éclatant mêlé à un sentiment d'entière satisfaction apparut sur son visage. Les enceintes égrenèrent les dernières notes. Des larmes de joie perlèrent à ses yeux mais ne coulèrent pas. Elle regarda les personnes assises en face d'elle et, le cœur battant à tout rompre, elle attendit leur réponse.

• • • • •

Il ne faisait pas très beau, mais le temps n'était pas non plus propice à de grosses averses. Sarah avait un trou entre deux cours et, plutôt que de rester dans les couloirs où stationnaient toutes les prostip**tes du lycée quand les toilettes étaient bondées, ou au lieu d'aller tranquillement s'enfermer dans les livres à la bibliothèque, elle préféra jouer au basket. L'opportunité de réellement jouer s'offrait à présent à elle. Avec un peu de chance, elle réussirait à intégrer une équipe de basket au sein du lycée. Le ballon sous le bras, elle traversa les couloirs sous les regards dédaigneux de certaines filles qu'elle ignora royalement. La jeune fille arriva sur le terrain et heureusement pour elle, il n'y avait encore personne. Elle laissa tomber son sac de cours au pied d'un panier et s'éloigna de ce-dit panier en dribblant. Arrivée au milieu du terrain, elle prit le ballon entre ses mains, observa le panier l'espace de courtes secondes et tenta de marquer un panier à trois point qu'elle réussit aisément.

« Fastoche ! »

L'adolescente esquissa un sourire vide de sens. Puis, elle recula encore. Et elle retenta de marquer un panier à trois points. Des fois, elle y arrivait, mais la plupart du temps, le ballon rebondissait sur le rebord et tombait hors du filet. Là, ce fut un échec. Sans rien dire, dans un silence le plus total, Sarah partit chercher la balle. Il était temps qu'elle passe aux choses sérieuses. Alors, elle improvisa un match contre elle-même. Ses seuls ennemis étaient invisibles et inoffensifs. La partie débuta et quelques bruits de conversation venaient troubler le choc ballon-asphalte.
Au bout d'un quart d'heure de « match », elle s'arrêta faire une pause de quelques minutes. Quelle était sa surprise lorsqu'elle vit des garçons agglutinés autour du terrain, commentant son match invisible. Au début, elle avait haussé les sourcils d'un air interrogateur. Très vite, ils lui firent comprendre qu'elle n'était pas ordinaire. Comme si la demoiselle ne le savait pas ! Qu'elle avait un don non-négligeable avec le ballon. Certains qu'ils pouvaient la battre, ils lui proposèrent un match qui aurait lieu bien des jours suivants, au même endroit.
Sarah avait fait gagné son équipe.
Sarah était sortie victorieuse de ce défi.

« En vous remerciant
pour cet entretien. »

Questions/Réponses par Jacob Ben Israel

« Certaines personnes ont du mal avec les phrases longues. Je n'en fais pas partie, mais je crois que Finn Hudson est de ceux-là. Alors, étant donné que je dois satisfaire tous mes lecteurs, en supposant qu'ils sachent lire, voici mes questions : »

❶ En quelles circonstances poussez-vous la chansonnette ?
Tu devrais plutôt me demander en quelles circonstances je ne la pousse pas. Car, pour moi, toutes les circonstances sont bonnes pour chanter. Donc, pour répondre indirectement à ta question, je ne pousserais pas la "chansonnette" si j'ai une extinction de voix. Cela va évidemment de soi.
❷ De quels instruments avez-vous joué ou jouez-vous encore ?
Pourquoi ? Tu comptes tout de même pas me jouer une sérénade ? De toute façon, je ne sais jouer d'aucuns instruments, désolée pour toi !
❸ Avec quelles célébrités pensez-vous avoir le plus de points communs ?
Pourquoi tes questions sont débiles ? Mais si tu veux une réponse débile, je t'en donne une. Je me sens plus proche de Michael Jordan et de Christina Grimmie.
❹ Quel(le)s sont vos chanteurs/chanteuses préférés ?
C'est un interrogatoire de police, ton truc ? Christina Grimmie, Bruno Mars, Rihanna, Michael Jackson et Lady Gaga. Ca te surprend, hein ?
❺ Quels est votre groupe favori ?
Sans hésiter, je dirais Aerosmith.
❻ Avec qui aimeriez-vous collaborer et pour faire quoi ?
Tout d'abord, ta question porte à confusion. J'aurais bien aimé l'élucider mais comme tu sembles casse-pied, je vais y répondre, comme à toutes les autres. En fait, je ne sais même pas avec qui je veux collaborer. Je suis très bien avec moi-même.
❼ Votre type de musique préféré ?
Hum... J'écoute de tout, vraiment tout. Du Bob Marley jusqu'à Miley Cyrus en passant par Céline Dion, Nightwish ou Mozart. Faut être ouvert d'esprit pour arriver à faire un truc de génial !
❽ Quel est votre rêve le plus cher ?
Sincèrement ? Que tu me fiches la paix !

L'enquête de Jacob Ben Israel

« Je parcours actuellement les couloirs de McKinley afin de récolter des informations sur le sujet X. Contre toute attente, certains points de sa personnalité sont flagrants. Le sujet semble... »

Intelligente - Observatrice - Perfectionniste - Imaginative - Naturelle - Mature

Cynique - Franche - Distante - Malicieuse

La voix du sujet est une voix qu'on peut qualifier d'ultra commune quand elle parle. Mais, sitôt qu'elle se met à chanter, la voix captive tant pas sa fluidité, que par les différences entre les tons graves et aigus dans lesquels elle peut aller. C'est une voix qui peut autant convenir à une chanson joyeuse comme à une chanson triste.

Votre Pseudo du Net

♪ Personnage inventé ou Poste vacant : Poste vacant
♪ Personnalité sur l'avatar : Ellen Page
♪ Prénom : Adélaïde
♪ Age & sexe : 19 ans, féminin
♪ Connaissance sur la série "Glee" : Saisons 1 & 2 faites ! J'attends avec impatience la troisième saison et le film Very Happy

♪ Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à Josh qui l'a connu par des amis ^^

♪ Code :
♪ Taux de présence : 7/7
♪ Votre impression sur le forum : Rien à redire ! Je le trouve superbe !

DÉLAIS ACCORDÉE

Saaaraahhchouuu hartyr

C'est trop génial que tu sois parmi nous ! **
Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche.

Ah la 2nde leader des Awesome Voices, je commençais à me sentir seul rockstar

Bienvenue à toi et bon courage pour la rédaction de ta fiche Tongue

Quel message plein d'humilité Tim Very Happy

Bienvenue à toi Sarah, je suis content aussi que la chef des AV soit des nôtres!

Savannah : Josh a su me convaincre. Tu sais qu'elle peut être très convaincante ! sifflote

Sinon merci à tous ! :)

Je suis super convainquante quand je le veux! 8D

Sinon euh un truc: FEEEEEEMMEEEEEEEEEEEEEEUUUUUUUH! YYYAAAYYYYYYYYYY! *raclement de gorge timide*

Bienvenue parmi nous Mlle

Roh Josh, fais pas ta timide, t'es pas comme ça en temps normal ! #sbaf#

Merci :)

Bienvenue Miss sur le forum!

bonne chance pour la fichette restante!

Merci :)

La fiche est terminée ! Very Happy

OXY

Je te souhaite officiellement la bienvenue ici, malgré nos échanges de MP Tongue

En tout cas, j'ai vraiment adoré lire ta fiche ! Sachant que c'est moi qui ai créé le PV de Sarah, je suis contente de voir que tu respectes totalement sa personnalité tout en te l'étant approprié aussi. Je suis ravie d'avoir une amie d'enfance sur le forum Brille

Ah et au passage, j'adore, tu utilises le même mot que moi, prostip*te mdr

On se recroisera très vite à ta validation kiss

Mais tu m'as été d'une aide précieuse pour la fiche, Oxanna ! Very Happy

T'as de la chance, car en temps normal, je ne prends jamais de pv puisque j'ai peur d'être totalement à côté de la plaque. Mais si mon interprétation de Sarah te convient, je n'ajouterais rien d'autre ! Very Happy

Merci en tout cas ! :) Oui on va se recroiser de toute manière ! :)

Ta fiche me semble parfaite, j'ai beaucoup aimé la lire et en plus de ça tu aimes Christina Grimmie Brille

Tu es donc validée Tongue

je t'invite désormais à créer ton Wiki Glee dans lequel seront recensés tes liens et tes sujets et aussi à te recenser dans le sujet des généralités sur les personnages.

Un admin passera te mettre dans ton groupe et alors tu seras libre de RP et flooder avec nous !

J'espère que tu te plairas ici et que la saison 2 te donnera encore plus d'opportunités ! Encore bienvenue !

Owh merci !! Brille

En même temps, c'est dur de ne pas aimer Christina !

Je file faire ça dès que possible ! Very Happy

peace

Oh mon Dieu, Sarah, c'était mon PV préféré ! Brille

Et ta fiche est géniale, je suis fan !
Bienvenue bienvenue donc !

Merci deux fois ! XD