02. i believe the children are our future

02. i believe children are our future

Jonah venait d'arriver à McKinley, c'était même son premier jour aujourd'hui. On lui avait dit qu'avant de commencer il devait passer par le bureau du proviseur, afin de régler quelques derniers petits détails. Il s'était d'abord rendu au secrétariat et une des employées lui avait demandé de patienter quelques instants, que monsieur Figgins était déjà en entrevue. Il s'assied alors dans un des fauteuils collés le long du mur. Il observa comme à son habitude ce qui se passait autour de lui. La dame du secrétariat semblant plutôt agréable et gentille, enfin aux premiers abords, ce n'est pas parce qu'elle lui avait souri qu'elle était forcément aimable, c'était son emploi après tout, ça ne reflète pas vraiment sa véritable personnalité.

Il appréhendait toujours autant cette première journée, il avait les mains moites et les essuyât sur son pantalon. Son pied droit ne cessai de remuer, mais il n'y pouvait rien. Son coeur battait extrêmement fort dans sa poitrine, il remarque même que son tee-shirt bougeait légèrement au rythme de ses pulsations.

« Jonah, c'est bien ça ? »

Le jeune homme acquiesça aux paroles de la secrétaire, qui lui souriait toujours autant. Le jeune homme ce leva.

« Monsieur Figgins vous attends. »

« Très bien, euh.. Merci !»

Il se posta devant la porte du principal et frappa tout en attendant l'autorisation d'entrer. La porte était vitrée, mais un rideau empêchât de voir à l'intérieur. Dans la vitre Jonah vit le reflet de la secrétaire derrière lui qui le dévisagea... Enfin elle le regardait de haut en bas, alors qu'il lui tournait le dos...

_FIGGINS: « Est-ce que vous savez combien coûte une table, monsieur Mosquera? » . Si le jeune homme n'était pas confortablement assit comme il l'était à présent, peut-être aurait-il put trouvé le temps long. Un bref regard à l'horloge murale lui indiquait que cela faisait maintenant trente-deux minutes qu'il se trouvait dans le bureau du principal, et que celui-ci ne cessait de pianoter sur sa calculatrice pour faire l'e total des dégâts du matériel détérioré par le jeune latino. Une main sur la tempe, Chase ne prenait pas vraiment la peine de répondre à cet homme qu'il n'en avait aucune idée et que personnellement, il n'en avait rien à faire. Une nouvelle fois, l'homme tapa sur sa calculatrice avant d'annoncer le prix. Roulant des yeux, Chase savait qu'il allait encore aux devants de gros ennuies. « Sérieusement … Qui ça intéresse? »

Le ton qu'il avait prit se voulait à la fois impatient et ennuyé. Figgins se figeait déjà sur sa chaise. Devant le comique de la situation, Chase aurait bien ri s'il était certain que le principal n'était pas prêt à le punir. Déstabiliser l'indien n'était pas très difficile et ce n'était pas la première fois que le jeune mexicain se trouvait dans ce bureau. Seulement, cette fois-ci, les dégâts matériels qu'il avait provoqués semblait de plus grande importance. D'après ce qu'il avait constaté, il avait brisé l'une des barres de maintiens pour handicapés et le principal semblait hors de lui. La voix teinté d'un fort accent avait reprit et Chase s'enfonçait dans son siège en soupirant bruyamment.

« Ah! Monsieur Davis! Entrez! » A cette invitation, Chase se releva lentement de sa chaise. Tournant la tête vers le nouvel arrivant, il fronçait légèrement les sourcils en parcourant l'homme du regard. Il était trop vieux pour faire partie des élèves. Un brin méprisant, Chase se ré-installez déjà confortablement sur son siège, sans vraiment savoir si le nouvel arrivant aller prendre place à côté de lui, à l'invitation de Figgins. L'indou ne semblait pas en avoir fini avec lui, aussi, tout en plongeant son regard dans celui du mexicain, il était reparti dans ses explications totalement dénuées d'interêt: « J'ai du me battre pour que la prison de Allen nous donnent ces tables! »

Cette fois, Chase décrochait totalement. Il n'avait aucune idée d'où voulait en venir le principal, mais qu'il le fasse rapidement. Il avait encore un entraînement dans une heure et des gleek à maltraiter avant. N'était-ce d'ailleurs pas la raison de sa convocation ici? Sa violence, sa vulgarité et son impolitesse envers élèves et professeurs? Pour le moment, Figgins ne semblaient que vouloir faire le bilan des choses détériorés et cela ennuyait fortement le latino.

« Aussi, je pense qu'il serait maintenant temps de vous apprendre à respecter le travail des autres. Je vais devoir appeler vos parents et vous interdire l'accès à notre magnifique lycée pour le mois à venir. »

Cette fois, la déclaration de l'homme figea Chase. Se redressant lorsque la nouvelle se répercuta dans tout son être, il entendit sa chaise tomber, alors que Figgins semblait étonné par cette soudaine rébellion.« Vous n'avez pas le droit! Notre premier match se déroule samedi prochain! Si je le manque, le coach Stevenson me virera de l'équipe! » . Le visage dur du jeune homme cachait ses véritables sentiments. Il était effrayé. S'il était viré aujourd'hui, ce n'était pas seulement de l'équipe qu'il risquait de se faire virer... Mais aussi de chez lui. Ses parents ne supporteraient pas de savoir à quel point leur fils est violent et inhumain avec les autres. Ils ne parlaient que d'amour du prochain et d'entraide... Non! Non c'était impossible, il ne pouvait pas être viré... Et pourtant, Figgins triturait un stylo sur le bureau, il était mal à l'aise, mais il tentait de garder le peu d'autorité qu'il lui restait... « Je suis désolé, monsieur Mosquera. Mais vous dépassez les limites, vous ne me laissez pas le choix! »

      Jonah fut autorisé à entrer dans le bureau du proviseur du lycée McKinley, un certain monsieur Finngins. Il n’avait jamais entendu parlé d’un nom comme celui-là, avant d’avoir passé un entretien ici , il y a quelques jours. Le principal était certainement d’origine Asiatique et avait un accent très bizarre, et très peu compréhensible.

      Le jeune homme entra donc dans le bureau, après qu’on le lui dise en glissant un léger «Bonjour» . Il fut supris de voir qu’il ne serai pas seul dans cette pièce. Un autre homme était dejà installé dans un fauteuil, face au bureau. Jonah ce dit alors aussitôt qu’il était surement en retard, que l’aure homme avait été plus rapide que lui, et qu’il avait finalement eut le poste.

      Jonah compris de quoi il s’agissait, en écoutant la conversation entre les deux personnes.

_Chase : « Vous n'avez pas le droit! Notre premier match se déroule samedi prochain! Si je le manque, le coach Stevenson me virera de l'équipe! »

_Figgins :« Je suis désolé, monsieur Mosquera. Mais vous dépassez les limites, vous ne me laissez pas le choix! »

      En fait, il ce trouvait qu’un lycéen rebelle, apparement, qui ne pourrais pas assister a un match le samedi. Le lycéen semblait désemparé, comme si il vivait pour jouer ce match, ou pour être dans cette équipe. Enfin un truc du genre !

      Jonah avait bien ressentis cette peine et alors qu’il était toujours planter au fond de la pièce, juste devant la porte. Il osa prendre la parole, afin de sauver le mise au jeune homme mexicain de toute évidence.

_Jonah :« Hum.. Excusez moi.. Si je peux me permettre»

      Jonah avait beaucoup de mal à parler en public, mais la il devait dire quelque chose. Et puis sa l’intègrerai au lycée, enfin lui le voyait comme çà.

_Jonah:« Je pourrais me porter garant... Ainsi il pourrait assister au match de samedi. Après tout si il manque un membre a notre équipe, la défaite est quasiment certaine. Donc si ce jeune homme n’en est pas exclut, nous pourrions espérer une victoire et ainsi gagner d’avantage en réputation.»

      Suite à ces paroles, un long silence règna dans le bureau du proviseur. Jonah déglutit en commencant a regretter son geste. Il commencait a avoir chaud, et rougis d’un coup quand les regards ce détournèrent sur lui.