Choriste du mois


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 04. Over my dead body

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Harper E. Pritchard
Harper E. Pritchard
Not everybody just gets to blurt out how they fuckin’ feel every minute
Age : 20 ans
Occupation : Employée à mi-temps à la Lima Station, étudiante au Lima Health Sciences Program de l'Ohio State University
Humeur : Déstabilisée
Statut : En couple avec Jamie Ainsworth
Etoiles : 5836

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Chanson préférée du moment : BEYONCE – XO
Glee club favori : Je me fiche totalement des chorales
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MessageSujet: 04. Over my dead body   04. Over my dead body EmptyMer 2 Mar - 11:21

« You used to call me on my cellphone »

Régurgitèrent les vieux amplis des toilettes mixtes de la Lima Station, donnant l’impression d’un son ouaté et presque réconfortant, malgré l’endroit dans lequel il résonnait. Dans la cabine la plus éloignée de la porte, Harper remonta la braguette de son jean cigarette piqué dans une pile de vêtements de la pension Preston, et recouvrit ses hanches du pull gris à grosses mailles qui la gardait douillettement au chaud. Le mois de janvier était toujours le plus rude en Ohio, bien que celui-ci le fût moins que le dernier. Le souvenir de la tempête hivernale de l’an passé était encore vif dans les esprits des habitants de la ville, et personne n’était surpris d’en voir certains sortir la panoplie du parfait inuit pour se préserver des rafales impressionnantes s’abattant sur le toit des maisons depuis la fin des fêtes. Comme la foudre ne s’abat jamais deux fois sur le même arbre, ça devait être la même chose pour les tempêtes assassines, mais comme elle l’avait appris lors d’un module de psychologie dispensé par l’être le plus étrange du monde – un hybride du nom d’Oswald, entre Einstein et Maugrey Fol Œil ; s’exprimant avec l’éloquence d’un acteur Shakespearien, il écrivait probablement toutes ses missives à la plume d’oie – , la peur supprimait tout le caractère rationnel d’une discipline aussi pointue que la météorologie. Harper donna un coup de frais à son carré blond cendré en y glissant ses deux mains, et après l’avoir frotté énergiquement, elle piétina sur ses tennis d’un blanc vif pour se donner du courage à repartir travailler. Elle n’avait pas cours ce matin, et avait pris son service habituel à la gare dès 9h00. Rien n’avait changé ici, si ce n’était que Sheridan avait quitté la ville pour offrir à son fils un avenir plus prospère. Elle faisait partie des gens optimistes, à la Andrea Lloyd, qui pensaient que changer de ville vous offre la possibilité illusoire d’effacer toutes les mauvaises choses qui s’étaient déroulées dans votre passé. Ainsi, elle avait tenu un argumentatif, PowerPoint à l’appui, mettant en lumière les maigres promesses d’avenir que lui avait faites Lima, et avait aussitôt plié bagage pour New York… Où la vie n’était pas plus facile, comme lui avait fait remarquer Harper, mais qui avait l’avantage de disposer d’une réputation plus reluisante que le coin dans lequel elles avaient toujours vécues.

Aujourd’hui, Sheridan devait regretter d’avoir mis les voiles. D’après ce qu’il se disait sur les réseaux sociaux et dans les couloirs de la fac, une série serait bientôt tournée en ville, faisant de Lima The New Place To Be. Des conneries tout ça. Comme si ils n’en avaient pas déjà assez avec le combat stérile qui se jouait entre les chorales des environs ; on n’en entendait plus parler d’ailleurs, peut-être que la honte avait eu raison d’elles, et qu’elles avaient abandonnées la lutte ? Dans tous les cas, quand les responsables de ce poisson d’avril prématuré s’apercevraient du pétrin dans lequel ils se sont fourrés, Lima la piteuse retomberait dans l’anonymat, effaçant l’impression désagréable qu’Harper avait d’être constamment observée. A cette pensée, elle quitta le cabinet, fredonnant l’air qui continuait à jouer au-dessus de sa tête et qui se répercutait sur les murs immaculés des WC – un choix de couleur plutôt osé, lorsqu’on savait le genre d’énergumènes qui fréquentaient la gare. D’un pas serein, elle se dirigea vers la rangée de lavabos.

Le jet d’eau se mit automatiquement en route dès qu’elle passa ses mains jointes dessous. Harper cligna bêtement des yeux. C’était un sentiment de plus en plus vivace qui l’indisposait chaque fois qu’elle mettait le pied dehors, ces derniers temps. Elle n’était pas connue pour s’inquiéter qu’on l’épie, la paranoïa n’étant définitivement pas une névrose qui complétait sa panoplie, mais tout de même ; il n’y avait pas un seul jour où elle ne ressentait pas le poids invisible d’un regard fixé droit dans sa direction. Elle n’en avait pas parlé à Jamie, ne tenant pas à ce qu’il se fende la poire en devinant ses angoisses, sauf que ça la suivait jusque sur le campus. Et ici aussi, constata-t-elle lorsqu’une sueur froide se forma le long de sa colonne vertébrale. Elle releva la tête pour affronter son reflet dans le miroir, et repéra un point rouge lumineux au-dessus de son épaule. Provenant de la serrure de la cabine située juste en face des lavabos, il brillait sans discontinuer. Aucune réaction n’ébranla l’expression neutre qu’Harper avait donnée à son visage, et tandis que Drake continuait sa complainte moderne, son bassin commença à doucement onduler.

« Ever since I left the city,
You got a reputation for yourself now
Everybody knows and I feel left out
Girl you got me down, you got me stressed out »


Si Harper avait la coordination d’un nourrisson, étant passée à côté des cours de danse que l’on imposait souvent aux petites-filles, il y avait pourtant une chose qu’elle savait remuer comme si sa vie en dépendait ; et c’était son fessier. Exit les histoires d’appropriation culturelle, et les tentatives désespérées de Miley Cyrus de faire passer le twerk pour sa propre invention, Harper disposait d’une occasion en or de vérifier si elle n’avait pas halluciné en se pensant espionnée. Les mains humides, elle se les sécha sur ses fesses. Les empreintes de ses doigts s’imprimèrent sur le tissu, donnant un rendu comique à sa tenue, comme si quelqu’un avait passé un bon moment en lui tripotant le derrière. Derrière qu’elle se mit à remuer de façon aussi équivoque que désordonnée, compte tenu de ses aptitudes inexistantes.

« 'Cause ever since I left the city,
you started wearing less and goin' out more
Glasses of champagne out on the dance floor
Hangin' with some girls I've never seen before »


Ne quittant pas le point rouge des yeux, ce fut avec détermination qu’Harper accentua sa danse, et manqua d’ailleurs se déboîter la hanche en voulant vaguement ondoyer comme une danseuse du ventre. Tandis qu’elle fléchissait les genoux pour faire ressortir la partie la plus grasse de son anatomie – c’est qu’elle lui avait permis d’amortir de très nombreuses chutes au cours de ces dix-neuf dernières années –, elle se positionna sur la pointe de ses chaussures. L’arrière-train bien en évidence, elle tendit les bras entre ses jambes pour imiter ce qu’elle avait retenu en tombant par hasard sur les clips vidéo de Nicki Minaj.

« You used to call me on my cell phone »

Là, et tout en évoluant à reculons, et à petits pas, jusqu’à la porte de la cabine à l’intérieur de laquelle se trouvait quelqu’un, elle en était maintenant persuadée, Harper fit trembler son séant comme de la gelée – c’était l’heure du dessert. Avant même de savoir exactement ce qu’elle comptait faire, elle profita d’être arrivée juste en face de la porte pour l’ouvrir à la volée avec ses fesses. Son coup de reins fût tellement musclé, qu’elle projeta violemment en arrière le curieux qu’elle avait repéré. Il expulsa un bloc d’air lorsque la porte le plaqua contre le mur d’en face, mais ce n’était pas le problème d’Harper qui n’attendit pas une seconde de plus pour le choper par le col de sa veste en cuir. Elle le fit sortir, pour mieux le balancer au milieu des toilettes. Il continuait de tenir la mini caméra qu’il tenait à la main – question instinct de survie, on repassera. Harper la remarqua, puis elle le regarda de haut. Le visage rétrécit par toutes les plissures qu’elle lui imposa tout à coup, elle lui demanda avec une réelle stupéfaction :

« T’es qui, putain ? » Le type, avachi sur le sol, lui tendit timidement la main, et avec un sourire mi-téméraire, mi-effrayé, lui répondit d’une petite voix mal assurée « Martin Bay, chasseur de têtes pour agence de casting. »
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Brittany S. Pierce
Brittany S. Pierce
MODO ; Don't worry, be happy !
Age : 26 ans
Occupation : Gérante et professeur de Duo Dance
Humeur : Excitée
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MessageSujet: Re: 04. Over my dead body   04. Over my dead body EmptyMar 8 Mar - 18:54

Le train n’était pas vraiment le moyen de transport préféré de Brittany, encore moins lorsqu’il s’agissait des vieux modèles faisant le trajet entre Lima et Columbus, mais elle aimait encore moins prendre la voiture sur de longues distances. Ce n’était donc ni la première ni la dernière fois que la jeune millionnaire ferait le voyage. Elle avait plusieurs contacts à Columbus, qu’elle rencontrait pour des raisons artistiques ou financières le plus souvent. Ainsi ce jour là elle ferait tout d’abord un passage chez son comptable avant de rejoindre un studio de danse ami pour proposer un cours et spectacle tout particulier à ses membres. Et qui sait s’ils n’allaient pas s’associer… ce n’était pas exclu. Duo Dance se développait bien et ce serait l’occasion de continuer sur cette voie, mais l’idée n’était pour le moment qu’un projet.

La jeune femme hâta le pas pour rentrer dans la gare et laisser derrière elle les rafales de vent glaçantes. Quelques personnes la suivirent des yeux, surpris par l’association de son manteau noir bordé de fourrure et de son écharpe en cachemire rose clair avec un bonnet noir aux oreilles de chat intégrées. Habituée à faire tourner des têtes (pour une raison ou pour une autre), Brittany se contenta de vérifier l’heure de son train. En retard. Quelle surprise ! Cela lui laissait plus de vingt minutes à attendre. Pour tuer le temps, elle jeta un coup d’oeil à son smartphone, vérifia ses messages et son compte twitter ainsi que le hashtag Gleema. Rien de neuf. Les auditions commenceraient sous peu, d’ici quelques jours, et rien d’autre n’avait fuité pour le moment.

D’un soupir, Brittany balaya le sujet et s’éloigna vers les toilettes publiques. Elle était venue depuis le studio de danse, peaufinant quelques détails administratifs, et la thermos de thé sucré qu’elle avait consommé pour se donner du courage face à la tâche Maudite finissait par se rappeler à son bon souvenir. Elle poussa la porte du bout de ses doigts gantés de noir aux petits pois roses et se figea dans l’embrasure de la porte. Un sourcil parfaitement épilé se leva rapidement devant la scène qu’elle était en train d’interrompre. Elle tenta de donner un sens à ce qu’elle voyait mais l’inversion des rôles traditionnels (un homme à terre regardé de haut par une femme en colère) la perturba quelque peu. “Euh… est-ce que j’interromps quelque chose ?” demanda-t-elle, inclinant la tête et accentuant ainsi la vue de ses oreilles de chat.

Prise d’un doute, elle vérifia le signe cloué à la porte. “Ce sont des toilettes pour femmes ou hommes, au fait? Oh, mais c’est peut-être maladroit de ma part, je n’ai rien contre les transsexués si vous en êtes, bien entendu,” s’empressa-t-elle d’ajouter. Elle avait lu un article dans un magazine sur le sujet récemment, visant à encourager l’accueil des personnes transgenres dans les toilettes où ils se sentent le plus à l’aise. Brittany était déterminée à accueillir tout un chacun mais la pauvre ne maîtrisait pas du tout le sujet.
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Harper E. Pritchard
Harper E. Pritchard
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Occupation : Employée à mi-temps à la Lima Station, étudiante au Lima Health Sciences Program de l'Ohio State University
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MessageSujet: Re: 04. Over my dead body   04. Over my dead body EmptyDim 13 Mar - 11:12

La demi-mesure n’était qu’un concept, plutôt flou d’ailleurs, pour Harper. Aussi, quand elle se sentait en danger, sa meilleure tactique de défense, ce n’était pas de battre en retraite et d’aller se cacher derrière la ligne de tir en attendant que la bourrasque passe. Mais plutôt d’emporter tout son amour propre et son énergie pour aller, d’elle-même et souvent à mains nues, affronter l’ennemi – et elle avait autant d’énergie qu’elle n’avait d’amour propre, ce qui n’était, en conclusion, jamais bon pour son assaillant. Peut-être que ça venait de l’éducation que son père lui avait inculquée avant de partir, ou peut-être qu’elle n’était pas aussi intelligente qu’on le disait, et qu’elle ne supportait tout simplement pas qu’on se frotte à elle avec désinvolture.
Quelque part, elle avait besoin de montrer de quel bois elle se chauffait, et si elle en ressortait avec quelques bleus et des os brisés, c’était qu’elle avait réussi sa mission-suicide. Ici, elle ne se sentait pas véritablement en danger ; il n’y avait qu’à voir l’attitude de l’homme qu’elle avait sorti des toilettes par la peau du dos. Frêle et précieux, il se cachait le visage avec les paumes de ses mains comme un petit garçon, cible des plus grands, dans la cour de récréation, ce qui finalement, était la croix qu’il avait dû porter tout au long de sa, sûrement très pénible, scolarité. La soudaine compassion chassa l’air de défi affiché sur le visage furibond de la jeune femme, et tandis qu’il se présentait, probablement pour créer un sentiment de proximité qui empêcherait la furie de s’en prendre physiquement à lui, elle se redressa.

Apercevant la couleur de ses yeux à travers le rideau que formaient ses doigts devant les lunettes en écailles qu’il portait de travers désormais, Harper roula des yeux « Je savais même pas qu’il y avait une agence de casting à Lima. » avoua-t-elle, circonspecte « C’est pour la série, c’est ça ? J’en ai entendu parler. » Difficile de passer à côté quand la moitié de la ville était excitée comme un puceau lors du soir du bal de promo, pensa-t-elle avec mauvaise humeur.

Loin d’être à l’abri d’une erreur de jugement, et bien que son instinct lui dictait de se méfier un minimum de l’individu qu’elle avait en face d’elle – ne serait-ce que parce que, dans les films, le trentenaire qui espionnait les petites jeunes dans les toilettes d’un lieu public, caméra au poing, se révélait généralement être le fou furieux qui finissait par s’en prendre à l’héroïne –, elle lui tendit une main, pour la serrer par démonstration exceptionnelle de bienséance, mais surtout, pour l’aider à se relever. Elle remarqua qu’il était prêt à se justifier, lorsque la porte principale s’ouvrit sur une grande blonde avec des oreilles de chat fixées au-dessus de sa tête. Harper tourna la tête vers elle, et arqua un sourcil en affaissant les coins de sa bouche, dans un signe appréciateur de l’accessoire fantaisie qu’elle portait. Puis, comme si ça lui faisait mal d’être associée à son interlocuteur, elle lui lâcha brusquement la main, et recula d’un pas en répondant à la jeune femme :

« Il est chasseur de têtes. » Ça ne répondait pas vraiment à sa question, mais ce n’était qu’une entame. Harper se décala d’un pas pour venir s’accoter à l’encadrement d’un cabinet de toilette, et avec l’expression de ceux qui s’apprêtent à pousser leur avantage, elle continua sur un ton où la moquerie était nettement perceptible « Juste pour savoir : qui encourage ses employés à filmer des filles à peine majeures à travers le trou de la serrure des toilettes ? » De nouveau, Martin sembla prêt à répondre aux accusations à peine déguisées d’Harper, qui lança un regard distrait à la blondinette pimpante, avant de le reporter sur la caméra high-tech qu’il ramassa fébrilement. Elle ne lui laissa pas le temps de vérifier si elle était en bon état ; comme un Diable sortant de sa boîte, elle bondit sur le petit appareil et lui prit des mains « Non, il y a des heures de footages là-dedans ! Si tu fais une mauvaise manip, et que t’effaces tout, je vais me faire virer. » Harper lui lança un regard par en dessous, du genre qui voulait dire tu m’en diras tant, et pressa sur le bouton play pour lancer la première séquence.

Ses grands yeux bleu foncé virèrent au gris orageux. Ce changement n’échappa pas à Martin, car il s’écria soudain :

« On cherche des natifs pour la figuration ! Tu viens d’ici, j’ai vérifié ! » Il transpirait abondamment, pendant qu’Harper gardait les yeux rivés sur le petit écran de gauche où elle se voyait défiler dans différents endroits de la ville, parfois seule, parfois accompagnée, sans même se rendre compte qu’on la filmait. Martin se racla la gorge, dans une tentative courageuse d’attirer l’attention d’Harper « Tu t’habilles toute seule  ? Ce style grunge-chic, c’est trendy, ma chérie ! » Oh. Mon. Dieu. Harper releva brusquement le menton, et ses yeux lancèrent des éclairs. Martin se tassa sur lui-même en reculant de plusieurs pas « On n’aurait même pas besoin de faire un effort de style sur toi. Tu corresponds parfaitement à l’esprit rebelle qu’on aimerait donner à l’un de nos seconds rôles. Et puis, si je peux me permettre, tu sais le bouger ! » Sans prévenir, Martin se donna une fessée – douloureuse, à en juger par le claquement sonore de sa paume contre sa fesse – à lui-même en pivotant sur ses deux pieds, et se retrouva quasiment nez à nez avec la blonde aux oreilles de chat. Il toussa dans son poing, puis détourna la tête pour regarder Harper.

Toujours accotée à l’encadrement des toilettes, et la caméra dans la main, cette dernière pencha la tête sur le côté pour fixer Martin avec une complaisance feinte – un sourire fendit même son visage, mais disparut aussitôt qu’elle laissa tomber lourdement la caméra sur le sol ; inutile de préciser que plusieurs des éléments soudés entre eux s’explosèrent sur le carrelage pour aller se nicher dans des recoins insoupçonnés de la pièce. En se décollant de la paroi de la porte, Harper se dirigea vers la blonde, et lui demanda sur le ton de la conversation « Tu saurais pas combien il encourt pour violation de la vie privée par hasard ? »
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